Vous êtes revenus dans votre corps émotionnel. Vous allez refaire connaissance avec les entités de ce corps car, souvenez-vous, vous êtes en connexion avec des plans de l’Arbre de Vie en vous par la Séphirah Iésod. Vous retrouvez une plate-forme connue : un terrain de jeu où votre corps s’avance selon les croyances qu’il a et les idées qui s’installent dessus et qui l’habitent ou qui lui arrivent de nulle part semble-t-il. Puis, sur ce terrain, vous aimez avancer des qualifications à vos types d’évènements. Vous y mettez des sentiments et des émotions qui les glorifient jusqu’à la limite que vous leur mettez. Lors de l’atelier du 5 décembre, je vous ai parlé de la Verticalisation (les trois champs de cinabre : pelvien, thoracique et crânien) ou sens de votre vie en rapport avec l’Âge d’Argent et l’Âge de Fer. Je vous ai parlé de l’Éternel Féminin associé à l’Âge d’Argent, à la Lune liée à la Séphirah Iésod, à l’aspect féminin de l’Arbre de Vie de polarité négative. J’y réfère comme à la plongée dans la Ténèbre pour retrouver l’origine unifiée, l’Adam Qadmon précédant la Création de l’Arbre de Vie et la Création des quatre mondes à l’origine des successions d’humanités ayant vécues sur terre depuis. Celui qui réunit la puissance masculine, le Yang, la puissance du Soleil, à la puissance féminine, le Yin, la puissance de la Lune, dite de retenue, de passivité, de l’énergie féminine, refait à nouveau, un nouveau Cercle de Vie. L’Unité se fait à soi-même. Elle concerne le retour du grain de sénevé – placé à l’origine de la création dans l’humain comme étincelle de Dieu au fin fond du champ de cinabre pelvien – à Dieu, au Yod après avoir poussé dans du terrain allant du sablonneux, rocailleux, marécageux, terre mixte, à la terre fertile.
Nous revenons dans un terrain de jeu commun connu mais avec notre propre terreau, notre propre couleur. Nous revenons marcher sur une terre où nous passons à travers une humanité empreinte de croyances fausses sur la Vie et son Origine, sur la nature et le pourquoi de sa vie, sur le sens qu’elle émet à sa vie. Pour elle, la Vie c’est de voir l’humain qui vit et marche, c’est de voir la nature et ses paysages fabuleux classés Merveilles du Monde, l’horlogerie à travers les planètes, les systèmes solaires, etc. L’humanité ne sait pas pourquoi elle vit ni quel en est le sens. Pour elle, chacun y trouve bien le sens qu’il y prêche, que ce soit, l’aventure, le désir de se dépasser, de vivre frénétiquement, de vivre ses peurs autant que ses joies et les imprégner dans les objets, les visions du quotidien, etc. Nous savons que le Feu court dans nos veines subtiles et qu’il est source de Vie. Nous savons que, ce que nous voyons, est coloré par ce que nous croyons vrai et que nous recherchons du dedans de nos corps subtils. Il est temps de renouer avec les indices comportementaux qui nous arrivent de notre marche dans notre vie.
Notre vécu montre notre vision «de ce que nous considérons être nous-mêmes». Il montre notre relation envers cette considération de nous-mêmes, envers la relation que nous établissons envers l’environnement et/ou avec les autres. Notre vécu montre la relation que nous entretenons envers nous, envers les autres et envers Dieu selon la croyance et la vision subséquente que nous avons concernant la puissance de l’invisible, de «Dieu». Dans nos relations, nous sommes confrontés à un langage clair et porteur de Vie ou à un langage brouillé, pervers, porteur de mort. Je veux revenir sur des indices comportementaux indiquant que celui qui vous parle est un porteur de vie s’il vous facilite la vie ou est un porteur de mort s’il vous pousse à aller dans un coin malgré vous. Il vous faut rejeter ces indices de mort qui vous atteignent en dedans et qui vous maintiennent dans la peur, l’incertitude, l’inquiétude, le stress, la panique, en aller chercher de l’aide pour vous sortir de ces situations qui viennent se brancher à vous par le dedans de vous.
Lors de l’atelier du 5 décembre dernier, nous avons échangé sur les évènements survenus dans notre vécu depuis l’atelier du 26 novembre dernier. Je vous disais que j’avais eu à vivre et à faire face à de l’intimidation et du harcèlement par «mobbing» dans les premiers jours de la semaine, sans que ces gens «harceleurs» en voient la couleur tellement ils ne se regardent pas dans leurs propres agirs. Nous avons pourtant tenté de leur ouvrir les yeux. Ils ne voient pas qu’ils sont intimidateurs implicites. C’est tellement naturel de prendre la réalité d’intimidations habituelles sous le couvert des règles comme allant de soi que l’on ne voit pas que le papotage, les regards, les attitudes montrent leur harcèlement. Voyons, par mon exemple, comment on peut reconnaître le harcèlement et sa forme constante de mort.
Exemples vécus d’éléments de harcèlement moral par mobbing
Voilà des exemples de harcèlement moral par mobbing accompagnés d’intimidation et de violence verbale soutenue par un ensemble de collègues derrière les violenteurs. À maintes occasions dans mon travail d’enseignante en mathématique, j’ai reçu de l’intimidation verbale ou de la violence par mobbing de la part d’un groupe d’enseignants à l’école secondaire où j’enseignais les mathématiques. Il m’arrivait qu’un collègue m’envoie fréquemment les mêmes phrases d’intimidation en m’enjoignant de regarder mes arrières car je serais attaquée et tuée. Ainsi, ce collègue, avec ses propos envoyés en répliques acerbes incessantes et morbides, en me rencontrant sur sa route, me demandait, tout de go, s’il y avait un salon funéraire dans ma localité. Une autre me disait que j’étais «faite» en me soulignant les actes abusifs et en sourdine de certaines personnes dans l’école. Elle concluait : Le Roi est mort. Vive le Roi. Ainsi parlait-elle en sachant qu’une certaine clique d’enseignants avait décidé de m’éliminer comme éducatrice-conseillère avec l’appui en sourdine du directeur de niveau dont je combattais les manoeuvres pour l’empêcher de se débarrasser d’un élève et ainsi de brimer le droit des élèves à recevoir des services de qualité à l’école Antoine de St-Exupéry, à la Commission Scolaire Jérôme Le Royer. Lorsque j’ai envoyé un document évaluatif à la Commission Scolaire pour permettre aux élèves de mieux performer dans l’atteinte des habiletés demandées par le Ministère de l’Éducation - alors que je savais qu’une majorité d’enseignants ne voulaient pas modifier leurs approches pédagogiques, leur vision de l’évaluation (je donnais du perfectionnement évaluatif dans des C.S. autres que la mienne), - je fus donc l’objet d’une vendetta/école par une majorité d’enseignants obligés de suivre le mot d’ordre de la même clique d’enseignants ayant un poids fort jusqu’au directeur, pour ne pas me parler ni venir s’asseoir à côté de moi pendant plusieurs … mois. Une de ces personnes est fortement connue du Syndicat depuis belle lurette (au moins 25 ans) pour ses fortes réparties de poussées morales fortes sur des personnes. J’ai donc vécu du harcèlement par mobbing à l’école en mes dernières années car je m’impliquais dans le Comité des politiques pédagogiques antécédemment comme secrétaire et maintenant comme présidente. Je voulais faire avancer le domaine de l’éducation pour le bien être des jeunes et cette intention n’était pas bien vue de la part de la clique… J’ai vécu aussi d’autres évènements de harcèlement à la Commission Scolaire. Ce que je vous rapporte concernant le harcèlement et l’intimidation a été vécu sous le couvert de raisons ou de normes permettant ou non l’acceptation aveugle de certaines raisons comme des erreurs administratives ou une lettre qui n’aurait pas due être postée ou c’était une lettre naturellement envoyée à tous, ou… pour justifier leurs comportements sans le sens. Et j’en passe.
Intimidation et harcèlement moral par mobbing par le Directeur des Ressources Humaines, lui qui m’a déjà causé des problèmes sérieux par suite de mes retours successifs comme personne en prêt de service. Le même fil de conduite perverse : il ne me recevait pas pour faire le suivi sur ce que j’avais vécu comme harcèlement moral à la Commissions Scolaire de Montréal, section des écoles Spéciales ou comme harcèlement moral et intimidation au Ministère de l’Éducation, section de la DDE. Il évinçait toute possibilité de me rencontrer et me poussait à l’école selon les tâches qui m’étaient dévolues sans respect de la convention. Il poussait l’intimidation en m’envoyant à l’école comme une pestiférée sans m’avoir reçue pour faire un retour avec son enseignante et permettre un retour harmonieux à l’école. Il augmentait la pression sur moi sans me recevoir. Je lui fais répondre que j’ai assez vécu du harcèlement et que je dois me reposer. Je reprendrai plus tard.
Au retour du second prêt de service, à la DDE, le Directeur des Ressources Humaines refuse de me recevoir. Je refuse d’entrer à l’école comme une bête qu’on envoie à l’abattoir. Il me fallut insister auprès de la Commission Scolaire ainsi qu’auprès de mon directeur d’école pour me faire recevoir par le Directeur des Ressources Humaines. La Commission Scolaire me traite comme un chien. Je ne suis pas un chien et je n’ai rien à me reprocher sinon me tenir debout face à du harcèlement de structure (Directeurs… CS et DDE). J’explique à mon directeur d’école cette situation de refus de me recevoir qui ne fait qu’augmenter le harcèlement dont j’ai été «victime» puisqu’en ne me recevant pas avant de reprendre mon poste et en me «garrochant» à l’école sans un retour adéquat, il dénie mes droits à une remise en place des faits réels qui se sont passés et non ceux que le directeur lui a dit. Je lui demande de m’aider pour obtenir un rendez-vous avec le Directeur des Ressources Humaines pour régler mon dossier. Il est intervenu pour moi. Dans la rencontre, le Directeur des Ressources Humaines s’est mis à jouer avec moi au chat et à la souris : il a essayé de me pousser à partir, à quitter mon travail en m’envoyant dans une tâche qui ne me convenait pas et n’était pas appropriée selon l’entente convenue lors du prêt de service à la DDE. Je devais retrouver mon poste et le Directeur me donnait un autre poste inacceptable selon les normes syndicales et patronales. Pire. Il me poussait à démissionner. Je vivais mort après mort. Finalement, avant la rentrée, j’ai eu une entorse qui m’a mise en arrêt de travail pendant deux ans. Vers la fin de ces deux années la CS m’a demandée obligatoirement d’aller voir le médecin de son choix pour constater l’état de ma cheville et décréter ou non que la guérison était faite. Or, la guérison de ma cheville n’était pas finalisée, car, même après deux ans, j’avais de la difficulté à marcher. Je vais voir ce médecin. Ce médecin me regarde marcher. Il me dit : tu peux travailler. Je lui dis que non car je ne peux pas marcher sans avoir mal. Il n’en a cure. Le lendemain, je suis «sommée» par la Commission Scolaire de me présenter à l’école pour aller au travail sans même qu’elle me reçoive après la rencontre avec le médecin pour une gestion efficace de moi comme ressource importante pour la Commission Scolaire. Je conteste la décision de ce médecin. La Commission Scolaire m’envoie en voir un autre reconnu plus exigeant que le précédent. Celui-ci me détecte une maladie irréversible par l’emploi de tests poussés où des radiographies en position debout montrent un problème sérieux à la colonne. Le spécialiste Murray me dit que je devrais me faire soigner, que c’est urgent. Je suis «invalide». À la vue de ce diagnostic complètement différent de celui de l’autre spécialiste, la Commission Scolaire est coite. Elle ne me dit rien pendant une semaine. Elle ne s’excuse pas de son comportement abusif. Puis, elle m’envoie une lettre «acceptant» mon invalidité. Et la liste continue à s’allonger en demande de congés sans solde pendant environ 13 ans, toujours sur le qui vive puisque je n’ai pas reçu un traitement adéquat de la part de la CS. Puis je reviens sur le marché du travail par obligation de régler le problème de harcèlement qui m’a été fait par la dite Commission Scolaire. Et bien, la Commission Scolaire continue son jeu derrière les personnes de l’école qui m’ont vue à l’école ou avec le directeur qui me prête des intentions pour faire avancer son service et sa loyauté à la C.S. Je ne pouvais plus endurer cette incessante intimidation, cette violence de sourires, de railleries, de jeu de rôles et de changement de sens des témoignages selon que je leur disais qu’ils manquaient de jugement en utilisant «l’énergie» pour justifier leurs dires sur moi. Voilà! Ce n’étaient que quelques éléments de harcèlement moral par mobbing ressortis parmi une panoplie de faits résultant de mon expérience d’enseignante active pendant 25 ans, d’enseignante en congé pendant 13 ans.
Je viens de vous exprimer quelques évènements vécus à la Commission Scolaire Le Royer montrant l’existence du harcèlement moral dans ma vie depuis environ 1982. Étant dans le domaine, voici que le SEPÎ de la Commission Scolaire de la Pointe-de-l’Île émet un article sur un sujet qui est connexe à ma situation sauf que je n’ai pas de dérangements mais je ne peux passer outre à ce harcèlement sans avoir expliqué cette situation afin de m’en dégager en disant ce qui se passe avec faits précis réels. Je vais donc répondre à Philippe Dufort face à l’idée de «personne raisonnable» permettant de voir s’il y a présence de harcèlement.
Analyse des propos du Syndicat SEPÎ sur l’étude de la recevabilité d’une plainte en harcèlement psychologique (SEPÎ, Topo, Philippe Dufort, 12 décembre 2011). Sans Préjudices.
Le Syndicat de la Commission Scolaire vient de publier un article sur l’étude de la recevabilité d’une plainte en harcèlement psychologique (SEPÎ, Topo, Philippe Dufort, 12 décembre 2011). Si j’ai bien compris, l’auteur souligne que le test qui est reconnu (mon ajout : critère reconnu) pour admettre le harcèlement moral (ou psychologique avec des petits critères incapables d’admettre une valeur réelle de harcèlement) doit faire l’objet d’une étude objective et que cette étude passe par la vision d’une personne raisonnable qui regarde les événements vécus par la plaignante. Je cite : «le harcèlement s’apprécie du point de vue de la personne raisonnable placée dans les mêmes circonstances que la victime plutôt qu’en fonction de la personnalité ou des traits de caractère de cette dernière». Cette assertion ne peut être vraie pour la raison suivante : une personne ayant vécu du harcèlement est affectée psychologiquement (stress, pleurs, peurs incessantes d’être poursuivie, diminuée, offensée, détruite) par suite de sa vision d’elle-même en regard des agissements de son employeur envers elle. Une personne autre qu’elle ne pourrait comprendre ce qui se passe dans la vision de celle qui vit le harcèlement car la relation entre l’employeur et la victime est au coeur de leur problème entre eux. Demandez-vous à l’employeur de prendre une autre personne raisonnable à sa place pour visualiser son intention et son harcèlement? Il y a donc «misfit» au départ entre l’utilisation d’un test objectif - dont le déroulement est vu sur la succession de petits faits issus de règles et de normes que le syndicat et l’employeur utilisent sans souplesse – et l’utilisation de la vision d’une tierce personne, personne raisonnable pouvant se mettre à la place de la plaignante qui reçoit du harcèlement. Personne ne peut se mettre à la place de la plaignante pour prescrire la véracité ou non du harcèlement car, par définition, celui-ci est issu d’une foule d’évènements liés à la vision de la personne en état de travailler pour l’employeur et de celui-ci en train de «gérer» cette employée selon ce qu’il voit ou veut voir d’elle. Dans ce contexte, le misfit est encore plus pertinent à constater entre l’idée avancée par Philippe Dufort- concernant le critère de la personne raisonnable devant se mettre à la place de la plaignante – et le fait que le syndicat choisit de contester la preuve de caractère (personnalité de la plaignante) montée par l’employeur pour faire rejeter le grief en alléguant que l’expertise (du médecin expert) n’avait pas été effectuée dans le contexte du grief pour harcèlement psychologique mais en lien uniquement avec la question de l’invalidité. Or, en disant cela, le syndicat a une vision petite et compartimentée de l’humain en état de l’expertise ou en état de harcèlement psychologique. Tout cela ne fait qu’un. Le harcèlement est une suite d’évènements successifs dans le temps d’actes causés par l’EMPLOYEUR POUR AMENUISER PROGRESSIVEMENT SA VICTIME ET LA RENDRE IMPOPULAIRE auprès de ses collègues de façon telle que ceux-ci s’éloigneront d’elle, coupable ou pas. L’humain avance dans sa vie avec ce qu’il est, ce qu’il voit comme bon pour lui ou non. Ce n’est que par la suite que son jugement sera affecté si les poursuites anodines et informelles le rendent stressé, rempli de craintes et dépossédé de lui-même en bout de piste. Le critère de la personne raisonnable est faussé doublement car cette personne a elle-même un cadre de pensée qui ne pourrait arriver en conflit pervers avec l’employeur. D’où l’injustice créée par le syndicat et les règles de droit concernant ce critère et l’erreur de jugement de l’arbitre à cet égard. Je cite les propos de Dufort dans les deux derniers paragraphes. «L’arbitre accueille l’objection syndicale au motif que le test qui est reconnu par l’état du droit en vue d’apprécier si les comportements reprochés constituent ou non du harcèlement psychologique, est celui de la personne raisonnable. C’est-à-dire une personne manifestant du bon sens, de la mesure et de la réflexion, donc sans problèmes personnels qui la porteraient à interpréter les comportements d’autrui à son égard à travers le prisme de la victimisation, de la paranoïa, de la suspicion ou de l’hypersensibilité. En conclusion, une preuve visant à établir une preuve de caractère de la prétendue victime n’a pas de pertinence pour déterminer si les comportements allégués par la plaignante constituent du harcèlement psychologique».
Ceci est dit avec une vision peu élaborée de ce qu’est véritablement le harcèlement moral (plus large que la vision donnée du harcèlement psychologique par le droit) car je l’ai vécu récemment avec le syndicat. J’ai vu premièrement qu’il ne sait pas vraiment comment le harceleur opère auprès de ses victimes. Deuxièmement, il se rassure auprès du droit pour viser la justice. Or, si le droit opère ainsi, il lèse ouvertement toutes les personnes qui ont eu affaire au harcèlement d’une structure par mobbing outre celui du «bullying» fait à l’intérieur d’une structure sans vision aussi largement développée que celui du mobbing tout en y étant sous-tendu.
Je constate aussi que Philippe Dufort n’a pas donné sa version de la définition du harcèlement reconnu par le syndicat. C’est un manque important que les enseignants, les acteurs travaillant à la Commission Scolaire devraient savoir pour comprendre le fil conducteur du harcèlement et ainsi ne pas se faire traiter de personnes dérangées et non crédibles car ayant des problèmes personnels, en parlant de l’employeur/ harceleur. C’est une grosse erreur de parler ainsi. Je constate aussi que l’enseignante a été lésée dans son droit de plainte de harcèlement envers l’employeur car les propos mêmes «C’est-à-dire une personne manifestant du bon sens, de la mesure et de la réflexion, donc sans problèmes personnels qui la porteraient à interpréter les comportements d’autrui à son égard à travers le prisme de la victimisation, de la paranoïa, de la suspicion ou de l’hypersensibilité.» employés pour circonscrire une recevabilité de la plainte sont déconnectés de la réalité d’une personne harcelée. Celle-ci a des problèmes personnels comme toute personne du syndicat et ce n’est pas parce qu’elle a des problèmes personnels qu’elle n’est pas crédible dans les faits qu’elle allègue s’être produits. Voilà un autre postulat qu’il faut jeter par terre car il lèse les personnes qui se plaindront automatiquement.
Finalement, Philippe conclut de ce dossier qu’une preuve de caractère (comment elle est) est non pertinente pour «pour déterminer si les comportements allégués par la plaignante constituent du harcèlement psychologique». D’abord, les comportements ont un sens et il faut le dégager. Deuxièmement, définit-il la pertinence comme critère de sens des faits menant à du harcèlement psychologique? Non! La pertinence est un critère important car lié au sens des évènements vus comme étant des indices de harcèlement. Cette pertinence est liée à la justesse et à la réalité de ce qui a été vécu par la plaignante (et par l’employeur) pour montrer l’existence du harcèlement. Encore là, on est loin de rendre justice à la plaignante. Aller analyser le dossier en grief serait un ajout intéressant à cette analyse succincte des propos de l’article de Philippe Dufort, du SEPÎ.
Si je me réfère à mon dossier face à la personne raisonnable et à la pertinence, je dois dire que ces deux éléments font problème. Le syndicat a analysé ma plainte de harcèlement et a dit qu’il n’y en avait pas sans m’avoir laissé m’expliquer. Regarder des lettres pour juger de la pertinence du harcèlement est tendancieux et prive de justice la personne qui sait qu’elle a vécu du harcèlement depuis longtemps sans pour autant qu’elle sache que c’était du harcèlement il y a 30 ans. Que l’employeur et le syndicat ne rencontrent pas la plaignante en premier avant de dire qu’il n’y a pas de harcèlement est le premier indice d’un problème de manque de respect envers la personne et indique aussi l’existence d’un problème de «sécurité» face à ce qu’ils veulent garder comme critères de harcèlement. Que l’employeur affecte une autre personne pour juger de l’existence du harcèlement, si cette personne est soumise à l’employeur ou y est connexe par l’emploi, il n’y a pas de validité de contenu ni de construit quant au rejet, ipso facto, de la plainte déposée par la plaignante qui n’a pas été rencontrée par la personne «autre» non plus. La preuve du manque de validité du rejet de la plainte de harcèlement par l’employeur et/ou la personne mise en poste est simple à faire. Revoyez le document de 32 pages que je vous ai laissé dernièrement. Que le directeur général de la CS rejette la plainte alors qu’il est lui-même inclus dans cette plainte cause problème. Que le syndicat rejette la plainte alors que la plaignante lui confirme qu’elle a vécu du harcèlement par mobbing de la part de certaines personnes ayant été membres actives de lui-même cause problème car le vécu harcelant continu sans qu’il le voit. Que le syndicat ne sache pas que des personnes, un groupe de ses enseignants ont fait du harcèlement par mobbing et que lui rejette ipso facto la plainte sans s’informer au préalable des faits allégués et fournis en preuve, cause problème à sa face même. Oui. Ces faits me causent problème car, par leurs agissements orientés selon la vision restreinte du harcèlement et de la personne raisonnable, les personnes qui voient ainsi vont à l’encontre d’assurer la justice aux personnes même qui leur demande de l’assistance. Est-ce par ignorance? Est-ce par une trop grande croyance en leur vision du harcèlement? Que dire?
Signes, indices de Harcèlement et d’intimidation
Vous arrivez fortement dans le monde de la matière où l’émotionnel est la primeur de l’existence. Vous allez percevoir fortement les tenants de ce plan maintenant. Regardez votre comportement et son sens et voyez votre croyance à enlever afin de ne pas nourrir l’égrégore de ce plan. Quand vous racontez des blagues intolérantes, sexistes, racistes sur les personnes âgées, l’homosexualité ou la religion, ou l’énergie ou le monde du Nouvel Âge, etc., vous exprimez des stéréotypes qui sont une forme de harcèlement moral par le verbe ou par l’attitude de les dire ou de ne pas manifester votre désaccord lorsqu’elles sont dites. Pire, ce que vous dites est inspiré du dedans de vous et afflige votre vision du monde qui vous entoure et avec lequel vous devez interagir pour vous occuper de vous à votre maximum. Être témoin de «l’intimidation verbale» d’une personne envers une autre sans parler, c’est admettre l’intimidation comme normale et la banaliser. C’est admettre en vous la violence comme normale de sorte que vous ne pourrez la contrer lorsqu’elle sera devant vous. Votre vision petite du monde dans lequel vous vivez vous empêchera de vibrer la joie et la Vie. Car il est reconnu que des témoins d’intimidation deviennent intimidateurs à leur tour (William Voors, L’Intimidation, p.55). Vous deviendrez à tout le moins sans joie, blasé.
Ce n’est pas la vie qui vous habitera mais la mort. Une autre forme d’intimidation est le papotage et/ou le commérage sur l’autre. C’est la nourriture des gens de ce terrain de jeu qu’offre le plan émotionnel par lequel vit la personne. Chacun aime parler de l’autre. Il s’en nourrit. L’Égrégore qui se forme dans son aura (plans subtils éthérique, astral, mental) devient habité de «bibittes» qui ont besoin de ces nourritures pensée/sentiment/émotions. Elles modifient la santé de ces plans en les agglomérant d’énergie noire accumulées en amas et permettant d’inscrire des zones d’ombre (forment la maladie qui atteint le physique selon la faiblesse génétique) dans leurs zones lumineuses. Ce commérage peut se faire par la diffusion de mensonges malveillants ou de rumeurs ou par l’apparition de commentaires blessants, ou de commentaires méchants inscrits sur les murs d’une école, un tableau de professeurs, sur les murs d’endroits publics. Des paroles blessantes sont dirigées vers la cible pour la diminuer, la rendre petite. C’est un harcèlement de haut voltage car la cible ne sait pas comment s’en défaire. Elle devient stressé, blessé intérieurement, psychologiquement et physiquement. Lorsque ces paroles blessantes s’accompagnent de témoins qui activent le mal être de la personne/cible, ils font du harcèlement par mobbing. Lorsque l’école donne une suspension sans qu’un travail de profondeur soit fait avant l’intégration du jeune harceleur, elle est encore en responsabilité de favoriser le mobbing. Car le harceleur continue ses ravages après quelques jours d’apparente tranquillité. Dans le cas du commérage fait par tous et chacun sur une personne, l’effet est immensément fort car la personne n’a aucun impact pour corriger une situation dont elle ignore le motif. Comme le dit William Voors dans son livre L’Intimidation « la cible du commérage subit les effets de l’aliénation et de l’exclusion mais pourrait ne pas en comprendre la raison parce qu’elle n’a même pas entendu les injures». Je dirais que cette forme de harcèlement est la plus répandue. Ses effets affectent la société en général dans son intention de favoriser le développement de la personne car ce que tu penses te revient en face. Tu ne peux discourir contre une personne et la favoriser à ouvrir ses ailes pour favoriser son développement maximal. Tu vis dans la contradiction. La société aussi. Alors, la violence verbale, les violences de toutes sortes jusqu’aux coups est continuelle, est banalisée et vue come normale. Alors, les enfants usent de violence parce que leur vision de ce qu’ils sont les fait s’avancer pour combler leur désir de puissance sur l’autre. Rousseau croyait que les enfants naissent bons et que c’est la société qui les corrompt. Toute entité nait et renait avec ses expériences inscrites dans l’âme et le corps qui revient vivre une expérience déjà pensée (Platon, L’Allégorie de la Caverne). Les enfants ne naissent pas bons et ce n’est pas vraiment la société qui les corrompt. Ils naissent avec leur propre bagage subtil concernant le sens de vie et leur cadre de pensée : leurs croyances qui viennent se frayer un chemin à travers la culture qui leur est apportée dans leur vie. Ils ont et/ou développent des stéréotypes qui sont favorables à ce qu’ils croient de l’intérieur. Les agirs de la société reflètent une kyrielle d’attitudes et de comportements en regard de tout objet soumis à sa vision et sous-jacente, à sa croyance relative à sa nature même, sa relation aux autres et sa vision et relation avec Dieu ou Satan ou de sa vision sans connexion de spiritualité.
Remettez en question vos préjugés et leur classification en termes de stéréotype dirait l’auteur William Voors en termes d’intention sous les mots qui cachent des croyances face à ce que l’on recherche comme la réalité ou face à ce qu’on veut qu’elle soit, dirais-je. Si une personne parle de son projet d’offrir ses services pour aider quelqu’un et que vous lui disiez que ses services ne valent rien, alors vous faites du harcèlement moral à l’égard de cette personne. Vous avez une intention, celle de dévaloriser la personne qui s’avance. Vos propos réduisent la valeur de service qu’elle veut offrir à une dévaluation d’elle-même. Portez attention à ce que vous dites aux autres pour voir que ce que vous voyez est le reflet de ce que vous pensez ou connaissez de vous-mêmes. Vos agissements et vos attitudes vont avec ce que vous découvrez de vous en parlant de vous-mêmes ou des autres.
Dans une section nouvelle d’idée, figurez-vous donc que lorsque vous vivez de hautes valeurs morales, justice, honnêteté, intégrité, Beauté, amour de Dieu, etc, vous développez autour de vous des fréquences vibratoires plus «pures» que lorsque vous êtes en colère, vous êtes paresseux, orientés à parler des autres, à vous nourrir de ce que les autres font ou sont. Vous nourrissez un tas de bibittes qui vous rendent l’aura difficile et vous mettent le cafard. Sachez que cela se passe ainsi dans votre énergie. Il y a des suceurs d’énergie qui n’attendent que ce que vous faites en émotions générées par vos pensées pour vous bouffer littéralement. Alors, cessez de vous organiser en regardant les autres. Occupez-vous de vous. Regardez ce que vous faites et quelles croyances vous font agir afin de vous en défaire. Alors, vos corps subtils seront à même de bien s’épurer de cette racaille qui attend vos désirs inassouvis, vos rognes, votre hargne.
Alors, ce qui se cache sous l’intimidation, sous la violence verbale et physique nourrit cette racaille en vous. Allez chercher votre intention derrière cet acte de dénigrement et de violence verbale et voyez sa croyance. Vous remettre en question dans vos papotages est nécessaire car cette façon d’être vous coupe de ce que vous êtes et vous enterre vivant dans une chimère de réalité fausse, imaginée, espérée, etc. Pour orienter vos comportements vers l’élimination des ombres et des racailles en vous, il vous faut vous tourner vers vous et entrer dans vos portes d’énergie pour les développer. Vous allez découvrir que vous êtes un vide à remplir du dedans. Ce serait un atout de choix pour améliorer votre vie que de vous tourner vers vous et de vous remplir du dedans. Comprenez-vous? Si oui, l’atelier du 17 décembre, à 14 heures au Centre Multifonctionnel Francine-Gadbois, vous convient. Entrez dans la danse et éliminez les qualificatifs inutiles qui nourrissent vos dires et qui font en sorte de densifier l’énergie ou votre aura, de masses d’ombre qui vous enlèvent la santé.

Entrée : 40$
Réservation nécessaire.
Adresse du Centre Multifonctionnel : 1075 Lionel-Daunais, Boucherville.
Pour de plus amples renseignements, appeler au CSR.