Par l’atelier du 8 octobre prochain, le CSR vous invite à mieux comprendre la teneur de ses propos sur la nécessité de faire le constat suivant : une partie de vous est revenue à vous-même et cette partie montre ses lacunes, autant dans le domaine du corps physique que dans celui de l’intellect/émotions, par les propos que vous tenez accompagnés parfois de douleurs physiques, émotionnelles et mentales qui se pointent autour de vous et en vous. Pourquoi cette nécessité? Parce que ces douleurs susciteront des ébranlements intérieurs et extérieurs que vous ne pourrez que constater sans savoir quoi faire ni comment faire pour en sortir. Voudrez-vous faire quelque chose pour vous? Que voudrez-vous faire? Tout dépend de ce que vous savez de vous et de ce que vous croyez vrai de vous. Je me pose cette question pour une simple raison : vous ne savez pas ce qui ne va pas car tout ce que vous faites, vous le croyez vrai et n’en voyez pas le sens, celui sur lequel se greffent les principes se trouvant à la base de votre vie : l’organisme appelé «la famille», votre devoir envers elle, le service aux autres même à votre détriment, votre recherche du bonheur avec, en primeur, le besoin d’être aimé, respecté, de vivre pour des idéaux appelés Justice, Égalité, Fraternité ou pour vivre une économie florissante avec mise en oeuvre de la théorie de la «plus value» ou celle de la performance plus (+) comme base de vos comportements. C’est cela, voir les ombres dans la Caverne de votre corps et croire fortement à la définition exacte des objets, des vertus, des propriétés du monde que ces ombres vous amènent à formater en un Système que vous croyez réel. Vous êtes dans la Caverne et revenez dans la Vallée des Larmes. Vous êtes tous affectés par ce retour, que vous soyez un émule nourri par l’énergie des Maîtres - puisque vous leur permettez de vous investir depuis les plans supérieurs en vous – ou quelqu’un qui ne sait rien des structures qui dirigent leur corps physique.
La Caverne
Nous voici donc aux prises avec nos émotions, nos sentiments, nos sensations et notre esprit qui se bât dans cette vallée de larmes, dans cette caverne où il est pris à agir avec la croyance de ce qu’il voit et croit comme vrai.
Nous pourrions tenter de dire que «La Vallée des Larmes» est la boite de Pandore où tous les maux de la Terre existent pour exacerber toutes les possibilités karmiques. Elle est donc l’endroit où tout peut se passer pour vous faire vivre le bonheur - selon votre vision de «ce qu’il est» avec nécessairement l’aspect fluctuant de celui-ci - ou le malheur si les expériences et l’issue de celles-ci vous mènent à vivre l’enfer. Ces deux possibilités sont à l’état éphémère. Ces deux possibilités de vivre dans la Vallée des Larmes englobent aussi les personnes qui vibrent l’énergie dite «divine» à différents niveaux. Je fais référence aux personnes qui ont permis aux Melchisédech, Métatron, Comte St-Germain, Jésus, la Ronde des Archanges, Sanat Kumara et d’autres Maîtres de la Fraternité Blanche, ainsi que des personnes reconnues par leurs adeptes comme maîtres, comme gurus ou Porteurs de Lumière, soient Sa Sainteté Saï Maa, Sa Sainteté Sri Sri Ravi Shankar, d’entrer et de s’installer dans leur canal subtil afin de permettre ou de prolonger leur oeuvre en se servant de l’énergie de ces êtres vivant dans ces corps subtils. L’égrégore de ces maîtres devient plus fort car ceux-ci sont alimentés des ressources de ceux qui les aiment et veulent ce qu’ils ont à leur donner en retour du service. En fait, en leur permettant de se servir des êtres travaillant dans leurs corps, ces personnes ont nécessairement cru que c’était ainsi que devait se vivre le «bonheur». Ainsi, par le fait de permettre aux Maîtres de s’implanter en elles, de se nourrir d’elles, par le moyen du service, en ne voyant que leur nature «d’âme» qui doit retourner à Dieu en se rassemblant dans l’Unité, dans «Humanité dans l’Unité» tel qu’apporté par Melchisédech, elles ont passé à côté du bonheur véritable. En effet, puisque ne pouvant atteindre l’état d’être permanent, dans le concret de la vie réelle, elles ont échangé leur droit d’aînesse pour un plat de lentilles. L’atteinte de cet état est complètement l’apanage de vivre la nature véritable de leur être, vivre l’Essence dans le corps physique.
Le Rapport Duchesneau
Le précédent atelier vous apportait une vision générale de ce à quoi vous alliez être confrontés du dehors par le dedans de vous. Voir cela n’est pas simple. Comment se voir et comment vivre le dégagement des problèmes qui arrivent par ce retour de l’être du corps émotionnel? Se voir n’est pas simple. Au niveau de la collectivité, vous pouvez voir les soubresauts créés par le Rapport Duchesneau sur la collusion1, l’état de «mafia» dans lequel vit le Système entier. Voyez ces soubresauts : les peurs des gens qui sont visés ou qui se sentent visés ou piégés par ce qui est contenu dans ce rapport. Ils ont peur de se faire traiter de voleurs, de personnes qui abusent du Système et qui ne sont pas « clean». Jacques Duchesneau a fait la réflexion que l’on peut apparenter ces gens à ceux du cas «Norbourg». Ils ne voient pas le problème causé à la structure, au Système, par leurs comportements et face au sens qui s’en dégage. Lui, Monsieur Duchesneau, ne voit pas non plus que ce qu’il dénonce fait partie de son cadre de pensée «propre» pris pour satisfaire le droit de la structure à recevoir ce qu’elle a mis en oeuvre pour répondre à ses besoins.
Ainsi, que l’on mette le rapport de collusion du Système (comportements de la structure et des humains dans celle-ci) de la pire des façons qui soit, il met en évidence le rôle et les fonctions prépondérantes de l’État sur ceux de la personne qui, elle, est à son service et que Lui permet et maintient les règles pour lui. Cette croyance de vivre pour l’État est loin d’être acceptable car celui-ci perd son authenticité au profit de quelques miettes de pain qui lui sont retournées. Voyez aujourd’hui comment l’esprit de l’État se bât pour ne faire que ce qu’il veut (pas d’enquête publique), vous faisant croire que ce qu’il décide c’est pour votre bien-être par celui qu’il prône pour la «collectivité» d’abord. En acceptant ce qu’il vous dit comme vrai, vous restez dans votre inconfort. Vous mourez à petit feu par votre pensée de victime/bourreau, pensée que vous entretenez dans et par votre comportement. Vous croyez cette pensée sur vous! Vous ne savez rien de vous mais vous croyez cela du dedans de vous!
Alors, j’arrive à la Vallée de Larmes. En chacun de vous existe un cadre de pensée fait de croyances qui alimentent vos principes et vos «idées» et vos sentiments qui se collent à ceux-ci pour alimenter vos comportements selon le sens que poursuit votre «personnalité», sens alimenté par votre vision concernant la nature que vous reconnaissez de vous-même et sa finalité. Ce faisant, vous vivez votre vie dans la Vallée des Larmes, incapables d’en sortir car inconscients de la fausseté du cadre de pensée.
Prenons le Projet Duchesneau. Celui-ci projette des jugements ou allégations de corruption envers des personnes qui s’entendent pour favoriser leur volonté d’avancer dans leur vie. Ces personnes ne voient pas le problème soulevé par Duchesneau de la même façon que lui. Pour elles, vivre et être obligé de s’organiser face aux nombreuses règles sans cesse renforcées par l’État dans son pouvoir sur la collectivité, lui permet d’affronter ces règles selon ce qu’elle peut le mieux faire. Serait-ce un système de défense qui sous-tend la collusion? Face à cette allégation concernant le sens de leurs comportements, les idées se bousculent et engendrent des peurs. Celles-ci se mobilisent dans l’esprit de ceux qui sont visés. Celui-ci fomente des scénarios qui grossissent et engendrent la douleur qui va s’exprimer alors dans le corps physique. Derrière ces peurs se profilent celle d’être rejetés, celle d’être jugés, celle d’être «scalpés», celle de ne pouvoir se défendre, celle d’être des personnes non fiables, non intègres, etc. Leurs comportements vont donc choisir un sens qui correspond à ces peurs : elles vont revendiquer une Commission d’enquête, elles vont pousser leurs pressions sur d’autres pour pouvoir vivre une solution acceptable face à ce combat qui leur arrive du dehors. Voilà un exemple actif où la collectivité et chacun de nous vivons dans la Vallée des Larmes et y restons prisonniers par inconscience de soi.
Rencontrons-nous donc samedi le 8 octobre prochain, à 14 heures, pour comprendre la pensée du Système et des humains qui fait la Vallée des Larmes.
Entrée : 40$
Réservation nécessaire.
Adresse du Centre Multifonctionnel : 1075 Lionel-Daunais, Boucherville.
Pour de plus amples renseignements, appeler au CSR.
