Vous avez entamé un chemin «de croix» c’est-à-dire une croisée des chemins en dedans de vous et en dehors de vous. Vous courtisez l’électorat pour faire un bout de chemin, celui de redresser le bateau qui coule actuellement par l’obscurantisme des croyances à la base de cette coulée.
Redressez le bateau commence par vous. Retrouvez l’intégrité qui loge en dedans de vous, au plus profond des eaux qui vous ont vu naitre. Quelle poésie direz-vous? Mais oui, deus structures énergétiques subtiles sont accrochées après vous. Vous ne pouvez vous en sortir qu’en les développant pour manifester votre intention de redresser l’intégrité en vous. Cette intention suppose l’unification de votre être dans votre corps physique.
Intégrité est l’état d’être d’une personne unifiée.
Vous êtes candidat à l’élection du 4 septembre prochain. Vous est-il venu à l’esprit que le Système global (ou Système sociétaire éducatif occidental) est coincé par le fond? Oui, il manque d’intégrité pour le diriger et faire valoir sa validité. C’est à vous que ce chemin des croisés incombe.
Bonne appropriation.
Bonjour à toutes les personnes qui ont fait partie de mon choix pour creuser l’information et voir ce que vous voyez des élections, des messages envoyés et de la faille du système global que j’y vois.
Bonne appropriation.
La Réalisation est arrivée dans mon corps physique depuis quelques semaines. Par moi, la Vie va s'expanser vers l'extérieur de moi. Je vais donc pousser la Vie dans les endroits de mort, partout où les Systèmes social, économique, de Justice valorisent l'incohérence dans leur gestion des principes et règles justifiés pour contrôler leurs options qui s'appliquent dans le quotidien de la population. Cette incohérence est fonction du creuset façonné par le gouvernement pour gouverner la population selon ce qu'elle veut de celle-ci. Le creuset se fait par le fonctionnement même des structures (législatif - judiciaire - Assemblée nationale, députation, élection, etc.) et devient fonctionnel par les systèmes implantés pour l'application des normes et règles que l'on a établies pour activer ce creuset évolutif du Système. Je vais vous parler de l'obligation évolutive de la Vie pour ce Système sociétaire éducatif occidental qui est actionné pour le service à la structure, non pour le développement intégral de la personne pour elle-même, pour sa finalité d'être. Je vais vous parler de l'élection qui vient avec l'évocation de ses priorités. Comment la population étêtée peut-elle choisir sa gouvernance? Que vient faire le CSR dans cette courtisanerie des partis d'un même système inefficace par manque de vision par ses croyances? Que dire du CSR Inc. qui montre comment développer la santé de façon efficace? C'est le début d'un temps nouveau …
Croyance du Gouvernement : creuset d'incapacité menant vers la mort!
En visant le contrôle de la population dans tous les domaines d'activité, en ne remettant pas en question les fondements de ces domaines pour le bien-être (relatif) de la population, le Gouvernement ne donne à la population que ce qu'il croit devoir ou pouvoir lui donner. C'est le creuset d'incapacité qui se véhicule à travers ce système. C'est peut-être pour cela que l'on voit des problèmes incessants et non résolus en santé, en éducation, en santé mentale, etc., malgré les avancées technologiques qui oeuvrent l'extérieur du corps humain sans toucher le point important pour sa santé, l'amélioration de ses structures subtiles. Ainsi, en santé, des hordes de patients cherchent une solution à leur problème de santé et se rendent à l'urgence dans des hôpitaux qui les reçoivent mais qui ne donnent que ce qu'ils connaissent du corps humain. Aussi, il arrive souvent que des personnes soient retournées chez elles après plusieurs heures d'attentes pour se faire dire qu'elles n'ont rien ou que les médecins n'y voient rien ou … C'est une incohérence magistrale car le Gouvernement est au service de la population pour l'aider à se développer et à atteindre le bien-être et il ne peut le mettre en application que partiellement et extérieurement. D'où son incapacité galopante car obsédé par son idée de viser le développement économique en se servant de l'humain, de son existence, de sa fonction, de sa vie. Le Système global (Système Sociétaire Éducatif Occidental) régit les services sociaux selon un sens : viser l'apport économique pour supporter la qualité des services à offrir. Cette façon de voir cause problème par la fondation idéologique liée à l'humain, à sa vie, à sa fonction, à son importance pour le système, soit celle d'assurer la pérennité du Système. Sa croyance : l'humain vit pour le Système. Effectivement, l'humain le croit dans sa vie présente, dans les êtres de ses corps subtils qui le dirigent, qu'il vit pour le système. Voyez! Les journalistes de Radio-Canada à qui j'ai envoyé des articles. Ils croient le système. Ces journalistes, à qui j'ai adressé deux articles récemment, étaient sous la croyance que la Loi 78 était acceptable pour le respect de l'Ordre et de la Loi. Pas de chaos. Ils n'ont pas relevé la problématique pour eux-mêmes. La coupure de tête, ils ne la sentaient pas chez eux! Par les médias de la télévision, ils couvraient les manifestations en envoyant le fluide que les manifestants avaient tort de revendiquer l'immoralité d'un gouvernement qui leur coupe la tête. Regardez les débats des chefs dont le but est de courtiser un électorat n'ayant plus de tête par suite de l'adoption de la Loi 78. Tout est évincé de cette histoire alors qu'elle est primordiale. Voilà un signe de manque de liberté et de sens critique face au Gouvernement. Souvenez-vous que cette Loi 78 ou Loi 12 est revendiquée comme non problématique mais nécessaire par Jean Charest. En effet, celui-ci tourne son chapeau de juriste de bord c'est-à-dire qu'il justifie qu'une majorité de personnes menacée dans sa peau ne puisse utiliser le principe de collectivité pour revendiquer ses droits élargis et ainsi causer un problème de liberté en suspendant les droits d'une minorité qui voulait continuer sa route. Le gouvernement raisonne ainsi pour le maintien de son pouvoir narcissique : Il est la Loi et nul ne peut s'y soustraire, même étêté. Donc, le collectif étudiant et autre imprègne une minorité à comprendre une plus large cause que celle d'aller s'asseoir sur les bancs d'école et d'accepter les coupures de têtes année après année. Pour lui, le bien public a préséance sur la personne qui revendique un préjudice. Ainsi, dans la gestion des systèmes, le droit collectif passe avant le droit individuel. Avez-vous entendu ces propos : «On ne peut pas faire telle chose pour ton bien car les autres ne l'auraient pas. Ce serait injuste.» Et je ne parle pas du Droit qui gère les droits selon des principes qui ne collent pas à la réalité mais à la réalité imaginée ou voulue selon les croyances concernant la vie sous les principes. Donc, cette revendication collective défiant la Loi 78 n'a pas plu à Jean Charest. Il en a fait un narcissisme pervers en retournant la sauce sur lui personnellement, insulté de voir que des individus perdaient leurs droits à l'éducation en ne pouvant aller à leurs cours… Tout d'un coup, l'individu privé de son droit d'aller s'asseoir sur les bancs d'école devenait un blessé de guerre frappé par la mesure collective qui portait le sens d'alerter la population sur la fausseté du principe de compromis que le Gouvernement leur lançait. D'où la mesure de privation des droits collectifs pour ramener le «chaos social» qu'il croyait devoir se produire. Puis les médias ont reçus des ordres de ne plus suivre les manifestations et de ne pas en parler. Quelques lignes écrites au bas de l'écran subsistaient.
Le creuset enfonce la mort. Ainsi, en collant ces affronts du collectif au manque de liberté individuelle, vu comme étant le reflet erroné du droit collectif exigé, Jean Charest mettait la liberté d'expression, le droit de revendiquer, le droit de s'associer pour se faire, le droit … et le droit … dans une tombe. Un jeu de guerre inacceptable. On pouvait remarquer que les étudiants qui revendiquaient une liberté dont un volet provient du secteur de l'économie (pas d'augmentation de frais de scolarités, droits à l'éducation, supprimer les collusions mettant la vérité et la justice en péril au profit du droit, etc. Je parle du système de justice régit par le droit constitutionnel ayant préséance sur les règles qui pourraient apporter la vérité. Ce n'est pas la vérité apportée par la personne qui revendique (personne individuelle ou ensemble collectif) qui est prisée en fait mais la conservation du Droit (formé de principes de droit pour assurer la bonne marche de l'analyse de ce qui est revendiqué en fonction des règles du Droit constitutionnel) pour la traiter et en porter un jugement. Encore le creuset qui pousse : La Justice n'est pas le but du système de justice. C'est la gestion des droits en fonction du droit constitutionnel qui perdure les erreurs à la vérité sous prétexte de se faire une jurisprudence. Celle-ci est inapte à gérer la justice car elle est liée à la culture de ce que le juge comme humain revendique de la réalité soulevée en cours. Le juge a pour but de conserver ses règles de droit pour juger de la réalité qu'il voit à travers celle du procès. Dans le concret, cette conservation noble des règles a usurpé le fondement «valeur juste». Pourquoi? Parce que la structure a préséance dans le maintien des valeurs qu'elle croit fondamentales pour le maintien de la force du Droit collectif comme base de gestion du droit individuel. Depuis plusieurs années, je vois comment la vérité est ensevelie sous les façades du Droit revendiqué comme une primauté décisionnelle par les juges de la Cour d'Appel, au Québec. Par exemple, tu sais que le procès a été biaisé et que le juge a décidé de choisir la réalité qu'il voyait à travers les témoignages. Tu sais qu'il a choisi une histoire factice quand tu regardes le jugement qu'il a fait selon sa vision de ce qui est ou se fait. Après, tu vas en appel pour dire qu'il y a eu des erreurs de jugements de la part du juge. Tu n'es pas au bout de tes peines. Tu dois prouver qu'il y a une erreur d'interprétation dans le jugement qu'il a émis. Comme s'il avait émis un jugement vrai par obligation. Oui, les juges ne remettent pas en questions les jugements des autres juges. Ils croient que ce qui est écrit est ce qui s'est passé ou que tu dois démontrer qu'il a eu tort dans le jugement ou les règles du jugement. Dans mes multiples pérégrinations pour assister Me Bohémier dans ses revendications à la Cour d'Appel, j'ai vu la problématique se répéter souvent. Rien à faire. On aime jouer du coude du droit constitutionnel aux règles pour assurer la pérennité du droit constitutionnel sur la vérité réclamée. Même dans mon dossier contre la C.S., l'arbitre s'est servi de mon action dans l'accompagnement des personnes qui avaient besoin de soutien, pour me crucifier dans un jugement complètement fictif lié à son incapacité d'accepter ce que je fais pour contrer le harcèlement qui m'est fait au quotidien des rencontres. C'est du harcèlement par «mobbing» car je dis que le système d'arbitrage ne peut me donner justice puisqu'il est lui-même harceleur par sa façon de voir et d'être, niant ce harcèlement de base dans son fonctionnement. Voilà quelques incohérences de la part du système politique et du système judiciaire que l'on ne remet pas en question dans ses fondements. On a tout un problème de fondement. Cette incohérence se manifeste aussi dans le système d'enseignement. L'humain comprend qu'il doit obéir à ce qu'on lui demande, même si ce qu'on lui demande le blesse, le tue. S'il ne le fait pas, il reçoit le coup de bâton. Si les parents le punissent malgré qu'il ait pu parler et dire ce qui se passe, il s'enfonce dans le sentiment d'injustice. Est-ce que la règle et les normes de l'école favorisent l'évolution de l'humain ou le dirigent-elles vers un contrôle pour assurer le mieux-être que l'école y voit? Le problème du Système Scolaire réside dans la gestion des relations humaines et du cadre dans lequel ces personnes oeuvrent ainsi que le sens que ces personnes recherchent dans leurs prises de décisions. Le problème, c'est le problème des relations entre personnes et celui du cadre de pensée dans lequel elles s'insèrent. La friction des cadres de pensées de l'autorité, des règles et normes appliquées par celle-ci pour le contrôle de l'humain le font décrocher. Donc, c'est par une vision évolutive des personnes en charge de relations humanes où les règles qu'elles auront à appliquer seront arbitraires et fonctions de l'humain qui est devant elles que s'établiront les bases d'un enseignement de qualité pour les fonctions applicables dans la société, Pour arriver à une éducation de qualité, il faudra aller enseigner dans le sens du développement maximal de la personne et non pour faire des comptables, des mécaniciens, des policiers, etc. Donc, là encore, nous avons une incohérence du système scolaire et du système dit éducatif (Études collégiales et universitaires) sur les bras car le sens de vivre n'est pas issu de la fonction que tu occuperas dans ta vie active.
Nous avons le domaine de la santé. Je parle de la santé physique d'abord. Le système social dit que la santé physique est le résultat de l'exercice, du maintien de bonnes habitudes alimentaires, de l'équilibre des actions d'une personne en relation avec l'environnement. Quelles valeurs cette personne mettra-t-elle en primauté dans ses relations avec les autres ? Sur quelles valeurs (liées à sa vision de l'amour- l'amitié- la famille- le travail - etc.) se basent ces comportements? Sur quelles croyances ces valeurs sont-elles issues? Remet-il en cause ses croyances? Comment savoir si ses croyances sont réelles? Or, le corps physique n'est que le miroir des structures subtiles qui le composent. Si vous ignorez cela, vous êtes coincés dans vos croyances sur le corps physique et sur comment le garder en santé. Alors, soigner les personnes sur la croyance que ce qu'ils pensent n'a pas d'impact sur leur santé est une fausseté. Alors, ramener le système de santé à soigner les bobos extérieurs sans aller aux fondements qui amèneront des changements assurés, est une incohérence frappante qui apporte la désolation du système de santé. Bien oui, les personnes croient qu'il faut mourir un jour. C'est une enchère de faiblesse qui accepte la déprime et la maladie sans pouvoir y remédier. Une autre incohérence reflet du système de pensée actuel. Le corps physique arrive nu mais il n'est pas une tabula rasa, un cerveau vide. Ce n'est pas la société qui le remplit ce cerveau mais c'est celui qui agit par le corps qui interagit avec ce qu'il sait et qu'il met en action physique. La santé mentale serait grandement et positivement ouverte vers le plein développement de la personne si l'on remettait la nature du corps physique à l'heure. Les maux mentaux et physiques seraient grandement modifiés par l'apport d'un nouveau système de pensée basé sur la nature véritable de l'humain. Rechercher comment modifier les problèmes d'une personne provenant de traumatismes au cerveau ou de cancers, ou …, est plus simple que de garder le soin en fonction du paradigme où l'incohérence se trouve en contradiction de faire par rapport au savoir scientifique majeur d'utiliser le travail des corps énergétiques. Quelle incohérence de continuer ce travail de recherche de santé sans le sens réel de l'humain. L'humain n'est pas aidé véritablement. Sa vie concoure à se débattre dans ses vieilles idées qui le tuent progressivement. Il vit dans la mort tout en croyant vivre sa vie. Il ne peut accepter comme vrai que ce qu'il croit ou que ce que le système lui dit comme étant vrai. Tout ceci pour vous dire que le Système, en refusant de dépasser ces croyances sur la nature de l'humain et sur comment l'aider à vivre sa vie (offre d'un système de santé adéquat à ce qu'il est et au sens de vie qui le mène à agir ou à dépérir), pousse l'humain à vivre dans la mort. Et sa vie se meuble progressivement de douleurs … jusqu'à sa mort. En ce sens, j'ai avisé plusieurs fois Jean Charest d'oeuvrer à bâtir un système de justice. Au niveau de l'aide sociale, j'ai fait la même chose pour aider Kévin et Sophie. Peine perdue. Les valeurs de justice et de vérité ne l'occupent pas. Ses croyances vont ailleurs, dans la fausseté du petit corps qu'on invite à prendre les services qu'on peut lui donner. Quels services sociaux ont les personnes? En quoi ces services justifient le choix prioritaires des subventions de recherche sur des bases fausses? On peut aider une personne paraplégique et même tétraplégique à mieux se véhiculer sur son fauteuil roulant, lui laissant croire à un service extraordinaire de donner de l'espoir à des gens qui ne pourront pas marcher mais qui pourront être habilités à se mieux mouvoir par suite du travail physique et/ou physiologique (implantation de muscles pour augmenter la capacité d'effort des avant-bras) qui leur est proposé. C'est un soutien extérieur acceptable pour ces gens qui croient qu'ils ne pourront plus marcher. Mais ne savez-vous pas que le problème peut être aidé fortement par l'intérieur des corps subtils? Non. Alors, les personnes atteintes sont prisonnières de leurs croyances sur la vie, sur la nature d'elles-mêmes. Comme elles, le système croit aussi que le fondement du corps physique est un corps d'os, de nerfs, de chair, de veines et que des systèmes le traversent et permettent la vie. Alors, comment le Système social peut-il s'améliorer avec de telles croyances? À quelle incohérence de tout le système faisons-nous face? Comment donc donner un chèque en blanc à un système qui est en perdition? Et ce, volontairement.
En vivant cette incohérence, le système et la personne qui entre en contact avec ce qu'il lui propose, entrent dans un espace de la Vie perdue et de la Mort vécue au quotidien. Cette incohérence du cadre de pensée qui bâtit la réalité qui y est sous-jacente, soutient les règles de mort, les principes de mort, les structures de mort, les systèmes de mort. Autrement dit, le système maintien une pauvreté de droit sur les personnes qui vivent son cadre de lois et de normes asservis au sens qu'il veut comme vrai sur la nature de l'humain et sa finalité. Et ce, avec l'assentiment de ces personnes puisqu'elles et leurs êtres subtils ne bougent pas devant le sens des gestes posés par le système envers elles. Pire, certaines personnes dans les medias vont s'acharner à croire que ceux qui apportent une nouvelle vision font partie d'une secte. J'ai vécu cela à maintes reprises (jugement de personnes inconscientes de faire des faux jugements pour bloquer la route à de nouvelles actions pour faire avancer la «fausse science» basée sur une incohérence de sens dans le fondement de ses hypothèses de recherche) partout où je parle de la santé liée au développement des êtres des corps subtils qui les composent. En ce sens, j'ai réitéré cette partie de la santé (non efficace à long terme pour la personne qui mourra par un autre moyen puisque ce qui l'habite ne peut se libérer et son développement ne peut être augmenté véritablement) à une candidate du PLQ, Madame Nicole Girard, le 20 août, lors d'un débat des élus dans la circonscription de Montarville, à Boucherville. Je ne lui ai pas dit cela ainsi car dans une activité sociale, on ne peut pousser profond même sous le couvert de savoir si les services sociaux admettaient des subventions de recherche? J'ai trouvé sur internet les subventions accordées par Jean Charest mais elles ne sont pas de l'acabit nécessaire pour contrer le décrochage scolaire ou pour transformer la vision du bien-être à poursuivre pour un vécu de qualité où la santé mentale est ravivée par le cadre de pensée qui élimine les croyances. Comme on le sait, la maladie mentale est là sous la forme de croyances et de principes et règles et normes faux pour faire agir les gens selon ce que l'on veut sans vision de comment pousser l'aide efficacement.
Actuellement, l'élection de la gouvernance d'un peuple arrive le 4 septembre 2012. Comment soulever le choix d'un gouvernement non orienté sur la force de l'intégrité de sens des lois à faire appliquer?
Activation de la Vie
Actuellement, dans mon chemin, par les volets de la Justice sociale et du système de l'Aide sociale et de soutien à l'emploi, voilà que le CSR est confronté à faire respecter les droits de Sophie «quant à la faire sortir de l'exclusion sociale qui la maintient dans la pauvreté financière». Et cette exclusion est soutenue par le Système lui-même. Et par le fait même, il augmente la pauvreté.
Travail de la pensée dans tous les domaines qui touchent l'humain
Comment vais-je faire cela? Je vais d'abord m'adresser aux Candidats qui veulent se faire élire et leur demander de regarder mes propos et d'y plonger afin de sentir ce qui pourra émerger de leur esprit quant à l'incohérence qui y est bien éclatante dans les propos du gouvernement pour faire valoir la qualité des services de santé, de santé mentale, de soins qu'on leur dit que les personnes auront des services sociaux. La qualité des services offerts maintient la dépendance à la maladie en priorité et la mort qui s'ensuit.
Je vais m'adresser aux élus et leur parler de ce qui leur tient à coeur au niveau des principes mais qu'ils ne visent pas dans le concret pour toutes sortes de raisons qui ne tiennent pas la route. Je parle de l'incohérence des actes issus du paradigme de pensée qu'ils veulent croire vrai) amenant la déprime, la désolation et la mort sous le couvert de faire ce que le système peut. Aujourd'hui, nous faisons face à une élection pas ordinaire au Québec. Une élection qui nous demande de nous prononcer sur le courtisan qui nous offrira le meilleur programme global (système éducatif sociétaire occidental) pouvant assurer que tous les domaines touchés par le secteur de vie (enseignement, économie, la qualité de vie des aînés, la famille), seront en cohérence avec le sens du développement de la personne et de celui de la visée de son bien-être (Objectifs visés par le Programme national de la santé publique, 2003-2012). Dans le document Un programme national de santé publique, 2003-2012), dans l'introduction, il nous offre le chemin de notre développement personnel et surtout le développement social en parlant de santé, de viser le bien-être de la population. Mais de quels programmes parle-t-on? Dans quel sens vont-ils? On ne le sait pas. Tout ce que l'on sait, c'est que les journalistes ne posent pas de questions sur ce qui composent ces programmes et comment ils sont efficaces.
Je vais parler de la vision de Jean Charest. Il vise en priorité les services sociaux (problème non résolus dans les hôpitaux, chez les aînés, dans le système scolaire, dans les institutions d'Études Supérieures) sans en parler véritablement.
Vision de Jean Charest
Je cite d'abord sa publicité : «Pour le Québec» Pour mieux financer les programmes sociaux.
" Il nous arrive de se dire que les services sociaux sont gratuits. En fait, ils sont universels mais ne sont pas gratuits. On paye avec nos impôts, nos taxes. Puis, on paye à la condition que les québécois qui (qu'ils) travaillent, que l'économie roule. D'où l'objectif de créer 250 000 emplois pour qu'on puisse générer les revenus, pour soutenir la santé, l'éducation, les aînés puis les familles. Et surtout avoir une équipe capable de livrer la marchandise. Ça cette équipe je l'ai.
"Pour le Québec"
Commentaire sur le sens de cette publicité et l'exclusion sociale
Jean Charest nous parle de choisir sa gouvernance par le maître-mot : Pour le Québec. Il nous parle du Plan Nord comme d'une caverne de trésors qui rapporteront suffisamment pour soutenir les services sociaux. Il semble parler des domaines de l'Éducation, de la santé, de la famille et des aînés. Mais il ne relève pas le fondement des problèmes. Il ne le sait pas ou il ne le voit pas ou il ne le reconnait pas comme réel ou il ne sait pas qu'il y a un fondement commun à ces problèmes sociaux?
L'exclusion sociale et le dossier de Sophie.
Voilà ce dont je vous parlais. On ne sait absolument pas de quoi il retourne dans son apport de qualité distribué aux personnes par les services sociaux. Par exemple, Sophie a demandé de l'aide pour sortir de l'aide sociale (étant en formation durant tout ce temps) et agir dans le sens de sa formation. Son action à entreprendre est la suivante : montrer comment faire la réalisation dans son corps et bien vivre dans son corps physique. Les gestionnaires d'en Haut n'ont pas bougé à part de voir notre contestation comme une plainte. Les gens d'en Bas ont refusé sa demande d'aide assistée, prétextant qu'elle ne répondait pas aux critères. Or la loi 112 oriente le sens des critères pour gérer l'aide à apporter aux personnes. Comme élu, Jean Charest doit obliger les personnes qui gèrent les dossiers du système à gérer les critères selon le sens qui privilégie les mesures et les critères conformes à la loi de l'Aide sociale.
Il y a incohérence des acteurs de cette gestion, de Haut (Ministre Julie Boulet) en Bas (le Clé). Il s'ensuit que le premier ministre a la responsabilité de voir à l'application de l'intégrité, du sens qui apporte le sens décrit dans la Loi. S'il ne le fait pas, il accepte que les injustices fassent loi et que les personnes soient «garrochées» ou obligées d'aller là où les fonctionnaires les poussent : dans la rue ou …. Ce n'est pas l'action de s'impliquer à défaire les décisions qui lui sont dévolues, c'est de faire respecter la justice et le sens de la loi. Or, Sophie a travaillé dans le dossier «Kevin» avec une force poussée pour faire respecter les droits de celui-ci. Le CSR et Sophie et Myriam et Kevin, ont dû travailler fortement pour montrer la fausseté des décisions du Clé. Nous avons dû demander l'apport du protecteur du citoyen pour nous aider à revendiquer les besoins de Kévin et de démontrer la justesse de ceux-ci pour continuer sa démarche vers le développement de sa personne et de sa démarche vers l'autonomie. Le système est incapable de travailler avec le sens de justice et de reconnaître les critères d'exclusion dont Kevin, moi-même et Sophie avons été soumis et propulsés. On voit que les buts de la stratégie nationale (Loi 112 Loi qui visant la lutte contre la pauvreté et l'exclusion sociale et donnant le sens d'action à la Loi sur l'aide aux personnes et aux familles) ne sont pas poursuivis dans le dossier de Sophie. Lutter contre les préjugés alors que nous avons dû lutter contre les préjugés dans tous les dossiers de Sophie: nous avons dû nous battre avec l'OMH, avec la SHQ qui a joué de traitrise pour lui enlever officiellement et illégalement la subvention au loyer reçue par une dérogation écrite, pour en arriver à ce que le gouvernement ne paye plus le propriétaire tel que convenu. Nous avons dû nous battre avec Sophie pour qu'elle puisse sortir de cette situation. Elle s'est retrouvée à la rue par l'application faussée de critères exclusifs au soutien financier. Ces faits représentent l'exclusion sociale raffermie par une absence de revenus depuis le 30 juin 2012. Voici ce que dit la loi 112 dans ses préliminaires :
" Les buts poursuivis par la stratégie nationale sont de promouvoir le respect et la protection de la dignité des personnes en situation de pauvreté et de lutter contre les préjugés à leur égard, d’améliorer la situation économique et sociale des personnes et des familles qui vivent dans la pauvreté et qui sont exclues socialement, de réduire les inégalités qui peuvent nuire à la cohésion sociale, de favoriser la participation des personnes et des familles en situation de pauvreté à la vie collective et au développement de la société, de même que de développer et de renforcer le sentiment de solidarité dans l’ensemble de la société québécoise.
Le projet de loi crée aussi l’obligation pour le gouvernement de déposer un plan d’action précisant les activités qu’il prévoit réaliser pour poursuivre l’atteinte de ces buts. Ce plan d’action doit notamment prévoir des mesures afin d’améliorer la situation financière des prestataires du Programme d’assistance-emploi, de même que celle des personnes qui occupent un emploi et qui sont en situation de pauvreté."
"Le projet de loi institue également un Comité consultatif de lutte contre la pauvreté et l’exclusion sociale qui aura principalement pour fonction de conseiller le ministre responsable de l’application de la loi dans l’élaboration, la mise en oeuvre et l’évaluation
des actions prises dans le cadre de la stratégie nationale. Il institue aussi un Observatoire de la pauvreté et de l’exclusion sociale qui sera un lieu d’observation, de recherche et d’échanges visant à fournir des informations qui soient fiables et objectives en matière de pauvreté et d’exclusion sociale. Il institue en outre le Fonds québécois d’initiatives sociales, affecté au financement d’initiatives visant à lutter contre la pauvreté et l’exclusion sociale."
Alors! Que fait le premier ministre? Rien. Inconscient de sa responsabilité de gouvernance.
Il ne fait rien. Sa raison : il ne se mêle pas des dossiers. Indépendance.
Parce qu'il ne fait rien, il accentue le manque de justice, le manque d'intégrité du système. Ce n'est pas parce qu'il ne s'implique pas dans l'indépendance de ceux qui gèrent. C'est parce qu'il n'assure pas l'intégrité de sens d'application de ses gestionnaires. C'est ça le problème du creuset qui nous plonge dans la mort du Système. Il ne voit pas que son rôle est plus grand que de s'immiscer dans un dossier. Il ne comprend pas qu'il doit s'assurer que les gestionnaires sous sa juridiction de gouvernance, doivent gérer les Lois en visant le sens de la LOI. Il ne comprend pas que ses ministres et les fidèles serviteurs non élus du gouvernement ont une pensée petite et non orientée sur l'établissement de l'inclusion sociale. Ce qui est le cas ici. Non seulement ses ministres et ses fidèles ne regardent pas le sens mais disent qu'ils ne peuvent qu'appliquer les petites règles qui ont été mises en place par les applications prévues. En fait, ils cherchent des moyens pour ne pas aller dans le sens très clair de la Loi. Ils se servent de prétextes de règles et de contraintes pour ne pas offrir de solution pour contrer les préjugés qu'ils ont eux-mêmes face à la situation de Sophie et au CSR qui oeuvre à faire entendre l'incohérence du système face à la poursuite du bien-être et du développement de la santé et de son maintien.
L'avancée du CSR
Travailler à parler des fondements réels des programmes sociaux et de leurs valeurs réelles est fondamental à savoir et à orienter adéquatement pour maintenir l'authenticité du système. C'est donc là un premier travail d'ouverture pour moi, un travail de pousser la Vie. Elle va passer par mes mots, par mes capacités scientifiques de grande envergure (hors du commun) et de grande portée pour le bien-être de la population.
Parler de l'avancée du CSR? Ce qu'elle est. Le CSR offre le moyen éducatif par excellence pour aider la population totale du Québec à sortir de la pauvreté, qu'elle provienne du domaine pécuniaire ou du domaine de la maladie mentale ou du domaine de la rationalité défaitiste ou du domaine de l'abondance dorée.
Parler de l'intégrité du Système à mettre en place. Ce qui implique l'intégrité de celui qui doit la mettre en place. Il nous faut donc parler du rôle majeur de celui qui prend la gouverne pour orienter l'intégrité dans son application dans les mesures et règles dont le sens doit être en incohérence avec le sens de la LOI 112 par exemple. Que faire du choix d'un parti pour la gouvernance du peuple sachant le vide de fond de ce qui est proposé par les candidats des 4 principaux partis en lice sur l'intégrité du système qui est absente de la donne et de son application? Voyons l'offre des courtisans à ce propos.
Offre des Courtisans
En ce dimanche 19 août, nous avons eu la possibilité d'écouter le débat des chefs. Les quatre chefs sont au débat télévisé et Monsieur Jean-Martin Aussant, de l'option Nationale, interagit sur Facebook. Nous avons pu voir leur état d'être lors de ce débat. Le premier ministre sortant, Jean Charest, parle de développement social au Québec par ses mesures favorisant l'économie, pas sur le comment développer les personnes véritablement. Seule, Françoise David, de Québec Solidaire, donne une ouverture plus large du débat en parlant de mesures sociales plus larges car touchant plus d'un domaine social. En fait, elle parle de vouloir contrer la solitude des personnes, leur vulnérabilité à ne plus pouvoir travailler, … En fait, elle parle d'être autonome et de faire des choix éclairés. Juste ce mot est grandiose car agir en conscience pour faire des choix éclairés, dans sa vie, demande un grand dessillement des yeux. Je ne parle pas ici d'arrêter un travail et d'en trouver un autre car ce mouvement actif n'est pas suffisant pour être autonome et pour bien vivre sa vie. En effet, une personne peut vivre un problème de santé mentale sans que quelqu'un le sache. Comment faire pour aider une personne à sortir d'un problème de santé mentale? Les spécialistes ne le savent pas eux-mêmes. Alors, offrir des mesures sociales pour aider véritablement les personnes à sortir de leurs souffrances exige de la part des chefs une grande connaissance de l'existence de cette souffrance chez elles et une capacité et une volonté d'y faire face en priorité.
Qu'offrent donc les courtisans que sont les quatre partis politiques? Ils expliquent leur positionnement donnant le sens de leur parti (Debout, Pour le Québec, C'est assez! Il faut que ça change, À nous de choisir) pour attirer les courtisés qui attendent de recevoir les bonbons de leur bonbonnière ou qui décident de rechercher le sens des candidats derrière leur chef. Les Courtisans/candidats à la députation/ offrent un projet de société aux québécois. Dans cette forme de courtisanerie, les actions - mises en place par le gouvernement pour aider ou supporter les personnes courtisées - ne peuvent se développer par manque de sens et conséquemment ne permettent pas d'atteindre l'autonomie. Seul l'État cherche à débattre l'autonomie du pays par l'exploitation du domaine économique, politique, social sans vraiment s'occuper des gens, de leurs malaises, de leurs pensées, de leurs désirs qui les empêchent de vivre la liberté. Vous allez me dire que bien sur, il y a une orientation de moyens extérieurs prisés par chacun des partis. Oui.
Quoi dire de ce débat? Les mesures sociales sont prioritaires pour permettre aux personnes d'atteindre un développement qui permet l'autonomie d'être. Mais en ce 19 août, je n'ai rien entendu de tel, surtout de la part de Jean Charest. C'est à ce gouvernement que je m'adresse pour sortir Sophie de l'exclusion sociale. Au nom de Sophie, Myriam a ouvert le bon sens pour sortir Sophie de l'exclusion sociale. La ministre de la solidarité sociale, Julie Boulet, a toutes les prérogatives pour régler le dossier. Elle ne répond pas, ne bouge pas. Voilà un exemple concret du mensonge de Jean Charest quant il dit qu'il favorise l'inclusion sociale. Tout le monde est égal dit-il pour se justifier de na pas faire respecter l'intégrité en disant qu'il ne s'implique pas. Voyons! Tout le monde est égal au niveau des âmes supposément, dans les plans subtils, mais pas dans les petits corps qui ont des besoins particuliers et pressants. Jean Charest se désiste de ses prérogatives de gouvernant dans la justice en n'appliquant pas le sens des lois pour assurer l'intégrité du système. Et cela, pour le peuple.
Dossier Sophie
Par exemple, dans le cas du dossier de Sophie, Jean Charest n'a pas voulu s'impliquer au niveau d'une problématique puissante liée à son ministère des affaires municipales dont trois ministres ont passé, Jean-Marc Fournier est suivi de Nathalie Normandeau. Et suit Laurent Lessard puis à celui de l'aide aux personnes et aux familles.
Jean Charest ne fait pas respecter l'orientation des actions de l'Aide Sociale. Le sens est donné par la loi 112. L'aide sociale doit favoriser la sortie de la personne qui peut entamer une autre étape dans sa vie. L'aide sociale se doit de l'accompagner, de l'encourager par des mesures d'aides financières concrètes et non pénalisantes. Dans le dossier de Sophie, la problématique du laisser faire se poursuit. Le flambeau passe d'un Ministère (Ministère des Affaires municipales et sociales) à l'autre (Ministère de l'Emploi et de la Solidarité sociale) avec le même fondement et la même problématique qui s'enlise. Jean Charest s'en dégage. Cela ne le concerne en rien le sens de la gestion «juste» de ses Ministères.
Donc, l'Intégrité des systèmes sous sa gouverne est coincée car elle gère sans sens pour la population. L'intégrité est à la baisse. Dans sa publicité pour l'électorat, Jean Charest parle d'économie liée au travail de la personne. Et ce travail est lié à la mesure d'apport de l'Aide sociale et de l'emploi pour aider la personne à poursuivre l'autonomie financière et sortir de l'aide sociale. En bout de ligne, tout cela se fait pour que ces personnes puissent fournir et soutenir financièrement les programmes sociaux (l'éducation, la santé, etc.). Comment fournir aux systèmes sociaux (éducation, santé, droits des ainés, etc.) les sous nécessaires quand la personne ne peut se développer d'abord et atteindre l'autonomie? Comment opérer un virage en santé quand on ne parle pas de la recherche médicale orientée sur l'autonomie, le bien-être?
Témoignage du creuset incohérence de sens et manque d'intégrité dans la santé.
Aujourd'hui, le 19 août, de 14 heures à 15 heures, j'ai écouté une émission à Télé Québec appelée "Une pilule, une petite granule". Le docteur Georges Lévesque parle du système de santé qui est extraordinaire puisqu'il développe, en centre de recherche, des moyens qui aident les handicapés tétraplégiques en leur fournissant un programme d'étude sur le lien entre la chaise roulante et ses accommodements pour mieux vivre, le chien et le patient. Je cite : "Ce qu'on leur offre comme soins, ça surpasse ce qui se fait dans bien d'autres endroits" souligne l'animateur DR Georges Lévesque. Maude est contente de pouvoir rouler en chaise roulante au lieu de marcher puisqu'elle développe davantage ses épaules pour se soulever, pour gérer la chaise roulante et se laisser guider par son chien. Donc, la patiente dit qu'elle vit maintenant avec ce qu'elle a d'aide, le chien. Elle montre qu'elle est heureuse ainsi. Donc, vivre plus vieux, sans médicaments, sans autre aide. Donc, vivre vieux et en facilité.» (Maude, une patiente faisant partie de la recherche du DR Dany Gagnon à l'Institut de réadaptation Gingras -Lindsay de Montréal. Mais alors, la vision décrite ne recherche pas d'autres moyens de guérison. Pourtant, il y en a d'autres que celle d'instaurer des capteurs dans le cerveau ou dans la moelle pour stimuler une activité électrique au cerveau afin que la pensée agisse sur le mouvement demandé. Cette méthode permet à quelqu'un qui n'a pas d'autre alternative de la choisir sans qu'elle puisse devenir autonome. Est-ce que le système médical vise une alternative si petite qu'elle ne permet pas d'arriver à guérir véritablement la personne et que c'est ainsi? De même, Georges parle des soins de santé qui instaurent l'inégalité sociale entre les personnes à Montréal. Cette inégalité se traduit par de la souffrance, de l'empêchement à profiter de soins plus pointus par manque de ressources. Ce qui fait que la longévité de ces personnes défavorisées est réduite de 10 ans par rapport à des personnes ayant un meilleur standing de vie. L'animatrice Marie-Élaine Proulx dit: "Que c'est triste".
Voilà que ces cas discutés à l'émission, méritent de réaliser que le sens des courtisans ne développe pas la santé mais limite les effets de la maladie en permettant une certaine autonomie découlant de leurs croyances. Dans cette réalité, il y a ceux qui peuvent recevoir et d'autres qui en meurt. Le système, par son inertie en termes de choix de la qualité de soins de santé pris selon la vision de la performance, rend viables les mêmes raisons qui lui dictent de rester en ligne ou de propulser un changement provenant de sa vision de comment cela doit se faire. Comme on le voit, le sens est encore trop petit pour changer la forme d'intervention dans les hôpitaux ou dans les cabinets de médecins pour que la recherche de la santé soit vraie et efficace.
Exclusion du CSR?
Le courtisan Jean Charest est en politique d'exclusion à mon égard car j'ai annoncé que je pouvais m'attaquer à des problèmes de santé par l'énergie travaillée dans les corps subtils, corps qui se trouvent à l'intérieur de la personne. C'est le projet Réalisation qui s'accomplit. Jean Charest ne dit mot depuis belle lurette et les successions de ministres de la justice, des affaires municipales non plus. Je réfère ici à du harcèlement de la structure par mobbing. Nous avons dû batailler pour faire régler des dossiers simples en cour supérieure puis en cour d'Appel, et oui, même en Cour Suprême. Le responsable de l'intégrité du système, Jean Charest, continue à dire ce qu'il connait: ne pas faire. Dans le dossier de la santé, il est averti que je lui offre une science plus poussée pour répondre justement aux besoins du peuple en termes de bien-être et de santé. Il rend viables ses mêmes croyances et raisons pour garder le système de santé en ligne orientée sur une apparence de santé. Dans le dossier de Sophie, par son non agissement sur le sens géré par sa ministre Julie Boulet, il accentue la défaillance du système de l'Aide Sociale et positionne l'action du système sur l'exclusion et la pauvreté.
Témoignages de Françoise David, de François Legault et de Pauline Marois sur l'aide à l'humain
Quant au témoignage de Françoise David sur la finalité de l'humain, elle a mentionné que la personne pouvait se développer… jusqu'à un certain point … Alors là, il y a aussi un problème de perspective concernant l'autonomie car tu ne peux l'être en étant prisonnier de tes pensées maladives. Tu ne peux l'être en étant prisonnier de tes souffrances venant sous l'égide de désirs inassouvis ou de douleurs liées à la non reconnaissance de ce que tu es, ou du manque d'amour … Quant à Pauline Marois, dire qu'elle va permettre aux personnes ainées de recevoir des soins à la maison et peut-être de mourir à la maison n'est pas un gage de répondre à la santé mentale qui fait en sorte que chacun se trouve délaissé, sans aide adéquate physique ou morale pour vivre et/ou finir sa vie. Quelle est donc la teneur d'une aide adéquate quand des gens de tous âges se suicident? Parle-t-on des vraies choses dans cette élection? Non!
Quant à François Legault, il est orienté sur des mesures sociales avec une approche globale en termes de structures et non pour favoriser l'humain et son développement en priorité. Les structures vont changer. Donc l'humain pourra-t-il être plus heureux? Il y a un problème de fond non répertorié et non attaqué pour le résoudre. Comment être autonome? Comment être ce que nous voulons alors que la société ne nous fait pas comme nous voulons et ne nous donne pas ce que nous voulons. Comme il est dit sur le site de l'assemblée nationale, il nous faut travailler et/ou nous mettre à genoux pour obtenir ce dont on a droit.
Conclusion : Sortir du creuset de l'incohérence et poursuivre le bien-être et la santé
Comment choisir les vraies affaires quand celles-ci ne sont pas abordées dans leur réalité pour choisir le candidat qui placera l'intégrité du Système et de lui-même en priorité? Comment viser l'autonomie de la population… et non sa pauvreté? Comment permettre à la population d'atteindre un niveau de développement pour un bien-être vrai comme le dit le programme national de santé publique (2003-2012). Dans cette élection, les vraies affaires sont plutôt lessivées derrière des grands mots cachés sous le couvert de mieux financer les programmes sociaux dans les domaines de l'éducation, de la santé, de la recherche, de L'innovation et économique pour faire travailler les gens et soutenir ces programmes. C'est voué à l'échec de cette façon.
Comment viser le bien-être et ne pas favoriser, dans ses choix de moyens, que les gens puissent atteindre l'autonomie puisque la pauvreté augmente? Quant aux autres partis politiques qui se présentent comme courtisans de l'électorat, certains (la CAQ) ont l'envie de couper (des postes au gouvernement, des commissions scolaires, etc.) dans ce qui n'est plus nécessaire pour le bon fonctionnement, la bonne gestion des structures et/ou de leurs systèmes. Je note que tous recherchent le bien-être de la population. Celle-ci le recherche-t-elle aussi? Le demande-t-elle? Ou bien est-elle résignée à ce qu'elle reçoit? Voyez comment ce bien-être se rattache implicitement à l'indépendance de soi envers soi, indépendance extérieure véhiculée si chèrement par le Parti Québécois et par Québec Solidaire. Ce qui n'exclu aucun parti car, pour ce qui est de l'indépendance territoriale, je pourrais dire que tous aiment revendiquer «être patron» chez lui, chacun à leur manière.
Bref, le débat des chefs est resté dans l'intention de faire en sorte de regarder l'autre et de se protéger pour conserver son apanage de pouvoirs. On ne parle pas de ramener l'intégrité du système sous la gouvernance d'un parti. Ils ont des intentions de faire le ménage. Ils se disent avoir les mains libres. Mais pour cela, il faut que les croyances soient éliminées et que la réalité soit à notre vue. Il y a une connotation réelle chez les courtisés quant à vouloir développer l'autonomie de décider ce qui est bon pour eux. Pas nécessairement pour devenir en eux-mêmes autonomes. Ainsi, on a parlé de concepts, de mouvements extérieurs pour permettre un renouveau gouvernemental. Mais ces dispositions ne changent en rien la problématique d'absence d'intégrité du système dans sa gestion du sens des lois, dans sa vision de l'autonomie, pas seulement financière, à développer chez les gens du peuple car leur santé est pauvre et le bien-être est peu possible à atteindre à moyen terme et à court terme. Car parler d'autonomie relève du sens global du système à agir dans l'intégrité pour les actions envers le peuple et non seulement de l'économie structurelle. Alors, comment le système éducatif global (Système qui tient compte de tous les domaines d'activités : les domaines sociaux, économiques, environnemental, judiciaires, politique, législatif comme la mise en action de la Loi 112) peut-il y arriver? Par exemple, l'application de cette Loi concerne le sens visé. Ce sens pousse au même sens le choix des mesures et règles de la Loi de l'aide aux personnes et aux familles. Et suit le sens des programmes sociaux, économiques et leur application par les soins sociaux, la maladie mentale, le recours à un médecin, le recours à l'aide sociale et les jugements de celle-ci avec l'utilisation d'outils appropriés au sens ou non appropriés car trop petits pour être en adéquation avec l'orientation de la loi 112. Je parle des accommodements pour le bien-être des ainés, la santé en prenant des positions différentes mais avec le même fondement. C'est un simple changement de chaises. Les candidats ne remettent pas en question le sens poursuivi dans ces lois et l'intégrité de les appliquer avec les mesures appropriées pour le sens afin de donner la qualité de services à la population.
Alors, je peux dire que les candidats doivent développer plus fortement ces sujets pour viser le bien-être réel de la population. C'est notre rôle de faire ouvrir le sens de la gouvernance car orienté sur le développement de l'autonomie, de la santé réelle.
Ghislaine
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