Voici que dans votre champ de connaissance actuelle sur votre nature, vous véhiculez des pensées et des croyances qui vous empêchent de vivre la réalité, un état d’être centré sur la Vie. Votre état d’être est creusé dans le même bois que celui de la structure dans laquelle vous revendiquez vos droits.
L’État d’être que vous véhiculez offre un état maladif car non développé et non épuré de vos illusions/croyances sur vous, votre nature, votre but dans cette vie. La structure que vous voulez changer est conforme à celle que vous utilisez intérieurement pour faire votre vie terrestre. Pour changer celle-ci, il faut vous changer intérieurement. Vivre le Québec en vous vous empêche de vous libérer de vous-même.
Le petit «moi» revient vivre ses aspects d'insécurité non résolus dans ce plan subtil épais qu'est le plan physique/éthérique. Dans ce plan, le moi en partie dégagé de l'ego connecte avec le petit être intérieur qui vit en lui. Connecter permet de vivre «ce qui est».
Parallèlement, l'énergie macrocosmique descend dans le plan mental inférieur de chacun et travaille sur le plan des Idées qui s'intègre en chacun de nous. J'inclus ici les êtres en responsabilité gouvernementale qui sont investis depuis près d'un mois ou deux dans les êtres de leurs corps subtils. Ils n'en savent rien, croyant que les idées viennent d'eux-mêmes. Ce que les Hiérarchies évoquent comme «le Père» est présent par les idées envoyées au plan mental inférieur de chacun d'entre nous. Non seulement il est présent mais il oblige les gens à faire ce qu'il veut qu'ils fassent à l'aide de ses anges et archanges et autres personnes qui se sont mises à son service. Dans cet ordre d'idées, j'ai réalisé que les nouvelles télévisées étaient bafouées dans l'aspect vérité sur ce qui se passait véritablement en regard des manifestations, de leur contenu et des façons de traiter ces informations pour donner l'heure juste à la population. J'ai écrit un premier article intitulé Ya-t-il une maladie journalistique qui se pointe au Québec. J'ai envoyé cet article à Céline Galipeau, annonceur à Radio Canada ainsi qu'aux trois mouvements étudiants pour les aviser qu'il se passait quelque chose de pas clair entre le gouvernement, leurs patrons et les journalistes. Depuis cet article, les manifestations ont presque disparu de la carte québécoise. Hier soir, j'ai envoyé un deuxième article (article #3 annexé au courriel) à Céline Galipeau pour lui dire qu'il y a une maladie journalistique réelle, celle de ne pas avoir une analyse critique envers les agirs du gouvernement, celle de ne pas voir que chaque personne vit sa vie sans connaitre sa nature intrinsèque de sorte que ce que la structure lui dit qu'elle est, elle le croit vrai. De sorte que le sens critique pour elle-même et envers elle-même est nul. L'article est intitulé «Véhiculer son état d'être devant tous, voilà la réalité visible de la vie de chacun». J'y parle particulièrement de l'état d'être et des agirs de la journaliste Anne-Marie Dussault envers le député Amir Khadir. J'indique que le sens qui est mis de l'avant dans l'émission «24/60 ou vingt-quatre heures en soixante minutes» offre un indice de la maladie journalistique révélée. J'y reflète aussi le soin avec lequel les éléments d'informations sont choisis et traités en une soirée. Je relate que le principal sujet était délaissé car on n'avait pas le temps de le traiter pour passer le flambeau sur des éléments peu importants. Il y a donc une maladie qui affecte le choix des sujets à traiter au détriment de d'autres. Il y a bien une entente pour drainer l'information à la population selon le sens voulu par les «meneurs».
C'est dans ce contexte que vous évoluez pour votre avancée terrestre quotidienne. Qui va donc entrer dans vos bottes pour faire oublier votre engagement envers vous-même? Celui qui va s'infiltrer en vous, dans vos bottes, passera par vos idées et vos croyances qui y sont sous-jacentes. Par cette exploitation de vos idées, il vous poussera à faire des choix et à aller là où vous devez aller pour satisfaire ses plans. Et ce, sans même que vous le sachiez. Comme vous constatez que le jeune tueur Magnotta est revenu d'Europe avec des êtres en moins en lui. Alors, comment le «petit moi épuré en partie de l'ego» peut-il passer dans ce plan subtil épais s'il ne sait pas ce qui se passe vraiment dans ses corps physique/éthérique, émotionnel, mental et causal; s'il ne sait pas comment distinguer sa volonté de celle d' êtres subtils qui le font agir? Vous pouvez permettre l'intégration des plans supérieurs et inférieurs en vous sans être «pognés» par eux qui descendent par vos corps. Faites des pas pleins. Restez dans le plan physique/éthérique et marchez pleinement vos expériences. Souvenez-vous que la majorité des êtres que vous rencontrez ont leurs corps émotionnel, mental, causal et physique/éthérique entachés de douleurs et de souffrances par le non développement de ces corps subtils. Alors, ils marchent leur vie intérieure dans le respect de leur fonction d'être sans comprendre que la structure pour qui ils travaillent, pour qui ils vivent, est incluse en eux dans leurs corps subtils. Ils acceptent ce qu'elle dit extérieurement parce qu'ils la comprennent du dedans, ayant les mêmes pensées. Alors, ils la vénèrent cette structure intérieure «divine» comme un Dieu. Vous êtes en relation avec eux. Passez dans vos relations en comprenant la croyance qui se pose sur le reflet de ce que vous voyez de vous par eux. Vos bottes retentiront sur le pavé car elles enserreront bien vos chevilles subtiles pour vous permettre que vos pas dans le plan physique /éthérique soient forts, solides et pleins.
Rencontrons-nous donc en ce samedi 30 juin 2012 au Centre Multifonctionnel de Boucherville à 14 heures pour faire le point sur la descente du macrocosme en vous. Voyons comment vous arrivez au plan éthérique et retrouvez la réalité absolue.
Ghislaine
Pour de plus amples renseignements, appeler au CSR.
