 |
Article 4 :Olympiades/jeu de mort ou intégrité et force de vie |
Offrir des mesures qualitatives au lieu de quantitatives pour rechercher le candidat ou le parti qui fera sortir la population québécoise de la gangue où elle est prisonnière. Se servir de deux critères pour forcer l'émergence de la palme d'Or chez l'humain:
- Souligner es propos d'intégrité;
- Mettre en relief celui qui relève le défi «personne intègre ayant l'amour de l'humain en priorité»!
Bonjour à vous tous, journalistes, étudiants, avocats, ministres, députés, etc.,
Je vous envoie, en annexe, les propos de Jean-Serge Turcot concernant sa vision de l’implication d’entités qui oeuvrent derrière des apparences à l’orientation politique au Québec. Ainsi, Jean-Serge souligne que les Frères musulmans s’impliquent au Québec et que la partie «philosophique musulmane» n’est pas sans danger pour nous. Il avise que les gens qui pratiquent le déni face à l’existence de cette invasion de pensée et d’actions des Frères musulmans devront s’ouvrir les yeux.
Ghislaine ajoute :
Effectivement, il y a intervention, non seulement physique mais surtout subtile et physique d’entités qui investissent la masse corporelle de personnes en volonté de diriger le Québec, qu’elles soient vues en fonction de ministres, de députés ou autres fonctions et services remplis par des avocats, des journalistes, etc. Ces entités se sont investies dans ces corps (de personnes ignorantes de leurs propres structures intérieures) pour orienter, ou la voie du Québec, ou la voie de d’autres pays en liaison avec le Québec ou non, ou bien pour d’autres raisons, au Québec comme ailleurs. Voilà tout un enjeu de la politique invisible qui se met en marche plus spécifiquement aujourd’hui. Et ce, sous l’égide de communicateurs journalistes (autant que d’avocats ou de policiers et/ou de députés et de ministres tous solidaires à accepter la mise en route d’un outil défiant la liberté de presse et la liberté de dires de la population) ayant accepté de vivre un processus de perdition de la justice et de la liberté d'expression par le vote «d’un gouvernement élu sous l’égide de la démocratie» mais échafaudant un outil pour mener cette démocratie à sa perte sans l’ombre d’un doute. En effet, puisque le gouvernement était majoritaire et puisque les députés ont joué la carte de refuser mentalement, mais pas physiquement, la fonction parlementaire qui proclamait cet outil comme juste ou injuste mais légal, alors tous ont permis le vote et l'adoption de la Loi 78 par leur acceptation même du processus ou par leur non implication volontaire car se cachant sous le règne de l’ordre et de la Loi pour se faire. Sa mise en action et son maintien est accentué par la Cour d'Appel dont le Juge Rolland n’est pas le moindre serviteur de la structure en la matière puisque les principes et les normes et règles empêchent l’actualisation de la vérité pour l'humain et augmentent l'apport du principe de celle-ci sur l'humain pour la structure. Pourquoi? Parce que les règles sont respectées et les Lois sont approuvées pour le maintien des droits de la Structure au détriment de ceux de l’humain. L’humain n’est qu’un outil de la structure. Elle le fait croire à ce qu'elle avance sous le couvert de la Loi, de la légitimité et de la science, et l’humain la croit, intérieurement et extérieurement. Il vit donc en état d’impuissance acquise. Il ne peut se fier à «ce qu’il est» pour vivre sa vie. Le médecin doit lui dire, le dentiste doit lui dire, la science doit lui dire..., les découvertes des astronautes doivent le renseigner sur ce qu’il est. Jamais cette connaissance de sa nature ne vient du dedans de lui-même. Il est donc condamné à n’être que «ce que les autres incluant Shiva, Yahvé ou Bouddha ou Jésus, etc., lui en disent. Chercher sa nature serait vain! C'est là le tenant de l'impuissance acquise.
Dans cet ordre d’idées réalistes, les journalistes - qui ont reçus mes lettres ( «Ya-t-il une maladie journalistique au Québec, ou Article 3 : Véhiculer son État d'être devant tous, voilà la réalité visible de vie de chacun!») - sont restés incrédules face à la vision qui leur était montrée sur eux-mêmes, sur les croyances qu’ils véhiculaient pour nous donner l’heure juste sur les manifestations de la population (Groupes d’étudiants, gens de tout acabit) face aux leurres apportés par Jean Charest et son Gouvernement pour régler la forme de gestion du gouvernement par, entre autre, les droits de scolarité. Les journalistes Céline Galipeau et Anne-Marie Dussault n’ont pas daigné répondre à ma demande quant à savoir s’il y avait une maladie journalistique au Québec puisque nous étions mal informés sur la situation. Par respect, elles auraient dû envoyer un simple accusé de réception et un remerciement pour la vision qui leur a été envoyée. Mais, en ne faisant rien, cela montrait l’état d’être dans lequel elles sont ainsi que la société Radio-Canada face à mon questionnement sur la maladie journalistique. Ainsi, remplis de bonne volonté, ou de volonté obligée par le patronat et/ou de celle du ou des ministres voulant le contrôle des communications sous l’égide de la raison «sécurité publique» derrière l’action, l’équipe des journalistes de Radio-Canada a accepté de continuer à diffuser ce qu’elle croit vrai - ou ce qu’elle réfute comme étant nocif à la vérité qu’elle croit. J'évoque la vérité non remise en question : la nature bonne de la Loi 78 et son impact négatif sur tous. Dans leur travail, les journalistes ne croient pas que cette loi leur est défavorable. Ils en sont exempts, ils ne sont pas concernés personnellement par cette Loi puisqu’ils en parlent comme d’une loi bienfaisante pour le peuple. Il y a donc un problème de vision. Souvenez-vous donc que des journalistes de Radio-Canada/RDI et d’autres de TVA/ LCN ne nous fournissent que ce qu’ils croient être bons pour nous afin d’orienter notre choix politique, afin de ne pas nous effrayer en ne nous fournissant pas les informations importantes concernant le vécu anormal de la planète terre qui en «mange des coups» à répétition (état anormal) des éléments air-eau-terre-feu et éther (invisible mais réel) qui accentuent les erreurs de la nature, les noyades, les tueries, les gens affectés de ces maux physiques envoyés par la nature déchainée, les écarts ou maladies mentales provenant des changements et perturbations occasionnées en dedans de chacun, les maladies physiques de toutes sortes qui viennent de l’intérieur de chacun, intérieur lié aux perturbations des éléments intérieurs au corps physique.
Jeu des journalistes: Olympiades sur l’échiquier politique
Pour parler franc, souvenez-vous que depuis le premier août, jour de la révélation officielle des élections du 4 septembre prochain, le journaliste Patrice Roy, de Radio-Canada, vous offre son état d’être en direct en parlant de la disponibilité de la Société Radio-Canada à offrir tout ce qu’elle peut pour favoriser les communications à la population afin que celle-ci puisse faire un choix éclairé dans la politique qui la gouvernera.
Comment faire un choix éclairé et donner l'information pertinente et faire abstraction des lettres envoyées à Radio-Canada, lettres dans lesquelles je mentionne le manque de sagesse des journalistes ainsi que leur état d’être (incluant leur pensée, leur croyance sous celle-ci, et l’action revendiquée comme bonne ou pas bonne des journalistes) revendiquant la validité de leurs comportements face à la population en rapport avec cette loi 78. Cette Loi a été votée par le gouvernement en exercice de démocratie sous l’apanage d’un sens: brimer cette démocratie pour sauver l'Ordre. Voyez-vous la fausseté de la chose? Cette loi est injuste et inacceptable pour tous les individus qui composent cette population et celle-ci ne peut réclamer justice que par le passage des revendications des Lois qui sont gérées par la structure même qui fait la tuerie. Voyez-vous que la population, même avocate, est prisonnière de sa fonction dans la société? Elle est incapable d’aller à l’encontre de lois injustes car elle va se faire lapider par le Barreau même.
Jeu de l’Olympiade et Bilan de Campagne
Nous sommes en campagne électorale depuis le mercredi premier août. Dimanche le 5 août, au téléjournal de Radio-Canada, l’animatrice Claudine Bourbonnais reçoit le chef de Bureau de Québec, Sébastien Bovet. Il vient nous parler des critères (et de ses croyances sous ceux-ci) qui lui font accorder la médaille Olympique d’Or, d’Argent ou de Bronze aux participants de l’échiquier politique. C'est une nouvelle approche globale en lui de la structure et des principes, règles et normes qu'elle applique pour sauvegarder l'Ordre établi. Cette structure, il l'aime. Il s'y sent bien, en sécurité. Ses propos d'hier envers l'état d'être des étudiants montrent cette recherche de sécurité. Il ne peut voir que les manifestations sont de l'Ordre de l'intégrité et qu'elles passent par le déclencheur «des droits de scolarité» et englobent largement la corruption des partis et de la gestion gouvernementale.
Sébastien Bovet y va comme d’une joute Olympique où il distribue sa répartie sur son analyse de la situation électorale, ses critères et ses jugements sur la performance d’un individu ou d’un parti. Il oublie que la population et eux restent sous la tutelle de la Loi 78. Comment parler de liberté de pensée, de liberté de répandre cette pensée de liberté sous le contrôle de la presse qui ne voit pas son manque de liberté à elle, à travers l’opinion des individus qui travaillent à la communication et préparent les nouvelles à dire ou à ne pas dire ou à omettre partiellement dans le téléjournal.? Comment parler de vivre une liberté d’action sous ce joug invisible qui brime les pensées de liberté en reconnaissant la loi 78 comme une bonne Loi? Comment enclencher un outil de communication qui propulse une joute oratoire ayant comme outil un jeu mental d’avancées de pions sur un échiquier politique asservi sous cette loi 78? Comment oublier cette chaine aux pieds de ceux qui avancent sur l’échiquier politique? Comment ne pas voir cette chaine aux pieds de Jean Charest et de son parti, de Pauline Marois et de son parti, de Amir Khadir et de son parti, de François Legault et de son parti, de Monsieur X et de son parti Option Nationale, et de monsieur XX et de son parti environnemental quant on regarde l’échiquier et son fondement actuel de corruption et de la vision petite de l’humain par la structure qui adopte la Loi 78 et qui fait vivre à la population son effet mortel à toute la population?
Pour gérer l’olympiade, il faut des critères permettant la qualification des personnes qui y jouent. Sur quels critères Sébastien Bovet joue-t-il leur classement? Sur ceux auxquels il adhère lui-même! Quels sont-ils? Par exemple, quel critère et quelle croyance se dissimulent derrière le choix de Charest pour le début prometteur de la campagne électorale libérale? Le journaliste Sébastien Bovet croit que la première mise en scène de Jean Charest et son intervention forte dans le public ciblé par la machine électorale libérale montre sa force. Il est le postulant en meilleure position (que les autres postulants) pour l’élection du premier ministre. Voyons comment Sébastien Bovet s’y prend! Comme critère, il choisit l’aspect effet extérieur d’une personne sur un parti ou sur une autre personne et parti adverse. Il choisit le contenu d’un parti. Il ne parle pas de la définition de l’Intégrité mais parle d’un ensemble d’actions posées par la CAQ pour proposer des éléments favorisant, selon lui, des réponses aux préoccupations du peuple. Quelles sont les préoccupations du peuple? Y a-t-il une différence entre préoccupations et besoins? A-t-on besoin de justice au Québec? Oui! Mais le système de justice n’est pas bâti pour voir la vérité mais pour voir à respecter les règles de Cour à travers la recherche de la vérité selon le type de Cour utilisé. Un autre critère extérieur : gestion des compagnies et non recherche de critères chez les gens qui revendiquent le bien-être de l’humain. Il retient donc le critère de l’aspect nationaliste québécois par les redevances des ressources minières. Il recherche une mesure populaire qui gère les finances, non le respect de l’humain. Rendre publique sa plate-forme électorale sert qui ou quoi? Est-ce l’humain qui est brimé par la loi 78? Sébastien Bovet choisit un autre critère : sa considération pour Jean Charest qui vient en élection comme un chef d’état, un chef de Gouvernement. Ne vient-il pas dire que l’élection est celle qui se veut importante pour l’avenir du Québec? Le Maitre-Mot inspirant le choix du parti représentant le mieux les besoins de la population est «Pour le Québec». Ce maître-mot représente le choix d’un avenir prestigieux basé sur la donnée financière, sur la survie de la Structure au détriment de l’humain qui plie sous le poids de la «bavure constitutionnelle» votée par tous ceux qui l’ont acceptée comme vraie ou bonne ou obligatoire comme loi 78 boycottant la démocratie pour assurer le maintien de l’Ordre dans la société. Pour Pauline Marois, le Maitre-Mot c’est « À nous de choisir». Choisir quoi? Pour qui? Pourquoi? Choisir la vision du parti québécois ayant sous l’aile la promesse d’abroger la loi 78 permet-il de répondre aux préoccupations des québécois? Comment la population peut-elle choisir ce qu’on lui présente alors que ce «ce qu’on lui présente» n’est que partiel et orienté par le choix de nouvelles émis par les journalistes de Radio-Canada? Critère propice : avoir l’étoffe d’un chef d’état et critère fort pour un chef d’état: utiliser une stratégie habile en émettant une mesure impopulaire précisée mais minimisée. Jouer de stratégies ne va pas avec l’intégrité. Jouer de stratégie et être intègre demande une valeur profonde d’action centrée sur le développement de la nature de l’humain pour permettre sa liberté d’être. Si tu ne le sais pas, tu ne peux le mettre en action en toi et autour de toi. Alors, ton action va se tourner vers la finance, vers l’accomplissement du travail pour permettre un bonus à la société. Pas pour le bien-être de l’humain. D’où la fausseté de rechercher la liberté d’être.
Le 5 août, Sébastien arrive avec son échiquier Olympique et en fait le Bilan de Campagne. Il attribue la médaille d’or à la CAQ par le choix de la personne «Jacques Duchesneau» dans leur rang. Celle-ci présente un projet de Loi 1 sur l’intégrité et un médecin de famille par québécois. Sébastien explique les critères d'où émergent ses choix. Il dit que «ces choix» ratissent large et cela répond à des préoccupations des québécois. Pour cette raison, ils peuvent mériter la médaille d’or. Pour la médaille d’argent, je la donnerais au Parti Québécois. Son critère : il croit que le parti québécois a fait son annonce la plus importante au début de la campagne électorale sur les redevances minières. Il a donné un soupçon de nationalisme à cette annonce-là en disant que « le sous-sol québécois appartient aux québécois». Il doit donc bénéficier, rapporter aux québécois. Et ça cela permet d’avoir une mesure populaire. Et puis, le lancement de campagne est probablement (croyance) un bon coup pour Pauline Marois. Le Parti est le premier des trois partis à rendre publique sa plate-forme électorale. La médaille de bronze, s’il faut en donner une, je la donnerais au parti libéral de Jean Charest. Monsieur Charest avait l’AVANTAGE de commencer, de déclencher L’ÉLECTION. Et mercredi, il en a profité et s’est présenté comme un chef d’état, un chef de gouvernement. Il a probablement marqué des points pour cette première journée de campagne. Mais par la suite il y a eu des annonces très très ciblées, par exemple, l’aide sociale pour les jeunes et les sortir de l’aide sociale pour les amener sur le marché du travail, inciter les personnes un peu plus âgées, les 55 ans et plus à rester sur le marché du travail. Et il y a eu cette annonce de 250 000 emplois qui a été contesté par des experts. Donc, en bout de ligne, je pense que le parti libéral mérite la médaille de bronze. Puis, il termine ainsi: «Ceci étant dit, la campagne est jeune. IL peut se passer toutes sortes de choses d’ici la fin de la campagne. Et notez la stratégie habile de Jean Charest aujourd’hui de faire probablement l’annonce la plus difficile de sa campagne jusqu’à maintenant, c’est-à-dire une augmentation des tarifs de garderie, très minimes, au plus deux pourcent (2%) par année mais ce n’est pas une mesure populaire. Il a décidé de faire le jour même de l’éclipse Duchesneau. Alors, cette annonce difficile passe un peu sous le radar ce soir.
Madame la journaliste Claudine Bourbonnais répond à cette palme olympique : "On aura sûrement des sondages au cours des prochains jours. On verra si ça va confirmer l’effet Duchesneau ou pas". À voir! On verra -comme dit Monsieur Legault- dit Sébastien Bovet. On voit que les principes servant le choix des médailles est extérieur et propice à la structure des partis quant à contrer l'adversaire. Pourquoi penser l'élection dans le sens d'adversaires au lieu de l'état d'être de la personne menant à son élection?
Publicité de Patrice Roy
Patrice Roy, très humble et conscient de l’importance des nouvelles émises par Radio-Canada, vous avise que la société Radio-Canada fera tout en son pouvoir pour informer la population québécoise afin de lui faciliter le choix politique à poser.
Mais ce sont eux, les journalistes, qui choisissent de parler des nouvelles selon ce qu’ils trouvent de mieux pour donner à la population. Et ces choix dépendent de leur vision de ce qui est vrai, juste et conforme à une société démocratique. Ce que nous avons besoin, ce sont des personnes intègres, des personnes qui vivent ce qu’elles disent et qui cherchent la voie qui les aidera le mieux à retrouver leur vérité intérieure, leur humanité. Comme vous le savez, j’ai écris à Radio-Canada pour leur parler de l’état d’être des journalistes. Ils font ce qui leur est demandé. L’Intégrité n’est pas de ce ressort. Comment voulez-vous prendre leur vérité pour «ce qui est vrai» alors qu’ils ne sont pas libres de choisir extérieurement (volonté du patronat) ni intérieurement (adhésion de leurs idées et principes à ceux de Charest- le respect de celui qui te mange le bras pour que tu fasses ce qu’il désire) leur chemin de vie. Les structures de leur corps physique ne leur sont pas connues ni les entités qui les forment, ni celles qui influencent leurs pensées, leurs émotions et leurs actions à l’intérieur d’eux. Alors, comment vivre la vérité? Nécessairement, les vérités utilisées sont subjectives et relatives à ce qu’ils croient d’eux, de leur nature, de leur sens de vie, de la forme acceptable de l’univers, etc.
Que Faire face à ce jeu d’Olympiades
Qu’allons-nous faire face à cette percée de critères et de croyances (issues de Dieu Yahvé (Nom: YHWH, mot imprononçable chez les Kabbalistes, chez la structure métatronique, archanges et anges voletant en forme de volutes autour de ce Dieu et refusant que la matière/corps physique, devienne Dieu) prétexte à comprendre l’enjeu de l’évènement «politique» actuel? Ne pas jouer leur jeu d’écoute du Bilan de Campagne à la façon déclarée par Patrice Roy. J'ai apprécié ce soir l'approche de Céline Galipeau qui allait questionner des personnes en allant dans un marché. Elle utilise l'approche idiosyncratique, approche qui permet de voir que l'enjeu électoral est fonction de ce que les gens pensent et vivent dans leur quotidien. Cependant, il manque une vision éclairée sur le fondement faussé de la base de l'échiquier puisque la population est soumise à une omission d'être elle-même et de pouvoir dire ce qu'elle pense du gouvernement Charest et des autres également par suite de l'adoption de la Loi 78 par tous. Donc, vous! Allez sur le terrain. Faites venir les participants de l’échiquier politique pour sentir leur intégrité face à votre vie. Ont-ils le souci de votre bien-être? Comment le sentez-vous? Voyez-vous si la personne qui veut votre vote répond à votre recherche de la personne intègre? Demandez ce que signifie pour eux «intègre».
Quant à la présence des musulmans dans le portrait politique québécois, sachez que votre vision de vous-même et de la vie est importante pour voir arriver une vision très puissante de leur dieu qui régit tout ce qu’ils font. La vision idiosyncratique où tout ce qui est fait contribue à une meilleure vie est importante et vraie, que l’on parle des chrétiens, des musulmans, des kabbalistes (vision exotérique des juifs), des bouddhistes, des hindouistes, des tibétains, etc. Ce que les musulmans font plus particulièrement avec des règles et des normes c'est qu’ils les acceptent comme étant nécessaires pour leur salut. C’est là où le bât blesse : croire que les règles et normes ont été érigées par leur dieu, pour eux. Non ce sont d’autres hommes qui les ont érigées. Comme ce fut le cas pour les bouddhistes, les hindouistes, les chrétiens qui ne pouvaient danser sans pécher, souvenez-vous il n’y a pas si longtemps. Ce n’est pas le musulman qu’il faut craindre mais notre propre turpitude à ne pas nous développer intérieurement sous quelque prétexte, idée, croyance ou raison que ce soit. Recherchez la nature de son être est important pour l’humain ainsi que pour la collectivité qui le reçoit car elle pourra s’impliquer à la base même de l’être pour favoriser son développement. L’extérieur sera au service de l’intérieur. De l'intérieur pousse l'extérieur qui vient. En recherchant l'intérieur, tous se porteront mieux.
Voilà ce que je nous souhaite.
Ghislaine Turcotte
Le Centre du Soi Rayonnant Inc.
450-655-9329
Courriel : csr@videotron.ca
Site : www.lecsr.com
Le Centre du Soi Rayonnant Inc
450 655 9329
csr@videotron.ca
www.lecsr.com |
