Frame
Fondements & Outils du CSR.
Frame

Le CSR
Article 3 : Véhiculer son État d'être devant tous, voilà la réalité visible de vie de chacun!

Bonsoir Céline Galipeau,

Le 28 mai dernier, vous avez reçu l'article « Y a-t-il une maladie journalistique qui se pointe?». Je vois que vous ne m'avez pas répondu. Cela est surprenant de votre part car vous êtes soucieuse de bien faire les choses et de répondre par respect à la personne qui vous écrit si fortement.

Depuis cet article, je me suis laissé sentir … les nouvelles, globalement, attendant votre état d'être mentionnant le reflet de ce que vous avez compris de cet article. J'ai écouté attentivement le type de nouvelles retenues par les équipes préparant les nouvelles à diffuser des chaînes de télévision LCN et Radio-Canada/RDI. J'ai écouté les reportages faits sur le terrain par Yvan Coté et d'autres journalistes. J'ai écouté souvent votre émission du jeudi soir concernant une analyse rapide d'une situation précise, dont celle du «conflit étudiant ainsi que sur la nature de la Loi 78 et ses effets sur la population» avec vos quatre mousquetaires David, Liza, Tasha et Anne. J'ai entendu le mouvement de changement qui s'est mis en place par les journalistes d'abord dans leur choix d'informations à diffuser. Ce mouvement des journalistes s'inscrit dans la forme de ne pas ou peu parler du conflit, de parler peu ou pas des manifestations quotidiennes des étudiants et de ne pas soulever les erreurs policières faites dans ces manifestations et récriées comme violentes et harcelantes face à des gens peu combatifs physiquement mais marchant d'un bon pas comme éclaireurs de vérité. Je vois donc une note inscrite à tous les postes de diffusion: favoriser le silence face aux manifestations. Vous en dites un peu plus que les autres journalistes mais c'est quand même très peu ouvert à la critique. Une note commune aux médias devrait permettre la dissolution du conflit social. Cette action ayant un sens commun chez tous les médias, il en ressort qu'il implique le travail des journalistes, celui de viser la couverture du sens des actes nécessaires faits par le gouvernement face à ce conflit, de la désinformation du public en mettant la valeur du conflit sur une simple différence de 100$, sur une vision comptable sans sens. Une note commune affectant le travail des journalistes. Ce travail mis en place par les équipes de journalistes est fait de manière à contrer le conflit social qui prend de l'ampleur. Je constate la position des députés en clans. Certains épousent aveuglément la position gouvernementale: ils voient cet écart comptable et s'offusquent de l'action des étudiants en regard de ce 100$. Je vois le jeu de rôle du clan de députés péquistes qui prennent différentes stratégies pour montrer leur alliance avec les étudiants par le port du carré rouge. Puis, un changement de cap en ne trouvant plus nécessaire de le porter. Le sens des actes posés par les péquistes manque de droiture. Le Premier Ministre Charest le sait, lui, que Madame Marois a fait la même chose, a adopté une Loi contre les infirmières, il y a quelques années. Elle ne peut renier ce jeu de rôle pervers qui oblige une population active à baisser pavillon sur ses revendications légitimes. Cependant, il me faut admettre que les infirmières avaient le choix: subir ou activer leurs droits. La peur est un sentiment qui offre un sens d'action négatif, un sens devenant un bien mauvais augure pour les gens qui baissent pavillon face à une action légitime à poser. Je vois l'action des gens de la rue qui, avec coeur et sonorité montrent la valeur réelle de ce conflit étudiant qui ne peut se régler car le gouvernement ne négocie pas réellement, se gardant le beau rôle mais affichant un dialogue de sourd. Dans ce contexte, comment donc retrouver un climat éducatif sain au Québec?

J'écoute la voix sonore des chaudrons des gens de la rue valorisant le combat des trois mouvements étudiants (la Classe, la FEUQ, la FECQ) en scandant leurs tambours/casseroles comme autant de points d'ancrage pour favoriser le maintien terrestre du combat inégal engagé par les Étudiants et le Peuple contre les agirs inacceptables (car immoraux) du Gouvernement. Je soulève les actions sur le terrain et surtout les propos médiatiques des trois factions étudiantes; ils montrent un mélange de sens qui les divisent dans leur «action commune» de geler les frais de scolarité par l'arrêt obligé de la corruption sous les actes économiques posés par le Gouvernement.

J'ai particulièrement étudié l'information passée dans l'émission 24 heures en 60 minutes avec Anne-Marie Dussault sous l'aspect de soutien au sens des actes gouvernementaux ou dans le sens de voir comment vont se délimiter les propos des trois groupes d'étudiants. Ce que j'y ai vu, c'est le reflet de l'entendement des journalistes concernant mes propos sur Ya-t-il une maladie journalistique qui se pointe au Québec.

Il me plait de vous faire ressortir le sens critique manquant des journalistes visible et vu par leur état d'être. Ce sens manquant innerve les nouvelles lues et exploitées par les journalistes des chaines d'informations professionnelles. Je réalise que, non seulement les journalistes se sont agenouillés au contrôle de l'information concernant le conflit et les manifestations mais que leur état d'être est aussi différend depuis la réception de l'article Y a-t-il une maladie journalistique qui se pointe au Québec. Voici un exemple du sens prisé par les journalistes dans une émission d'information. Ceci est dit afin de vous faire voir ce que vous privilégiez et vos croyances sous-jacentes visibles avec vous tout le temps.

L'État d'être des journalistes

Alors que ce conflit étudiant était alimenté par le gouvernement même, les journalistes couvraient ce conflit avec un état d'être pro--gouvernemental. Ils jouaient leur rôle en se montrant parcimonieux de leur appui au gouvernement dans la forme des questions qu'ils adressaient aux gens en pouvoir et dans leur façon de dire et d'être en réaction à ceux-ci, montrant leur vision d'allégeance au pouvoir tout en posant des questions allant de soi au gouvernement et à ses membres autres que les députés. On aurait dit que les journalistes croyaient que le gouvernement avait raison de faire ces actes violents pour contrer la rébellion des étudiants face à lui. Les questions des journalistes tournaient invariablement sur la donne du trajet, gage de se permettre une manifestation sans problème de frappe policière puisque le gouvernement jouait au gentil «dieu» si les manifestants, à Québec, leur montraient leur trajet. La tactique de la police : le conditionnement opérant pour faire saliver de peur les manifestants et les conditionner à être piégés quelles que soient leurs actions. Croyance en dessous: on va entraîner ce bétail humain à répondre à ce qu'on leur dit de faire. L'humain, dans cette condition n'est pas un humain mais une bête à contrôler coûte que coûte.

Je voyais donc que l'état d'être des journalistes annonceurs et interviewers montrait leur allégeance et leur partisannerie envers le Pouvoir en place, quelles qu'en soient les causes. Ou ils ne semblaient pas pouvoir discriminer le vrai du faux, ou ils étaient obligés d'être ainsi porteurs de l'action autoritariste du Gouvernement pour éviter le chaos social… ou pour assurer les arrières de leurs patrons. C'est encore cela aujourd'hui. Pourquoi? Parce qu'ils n'ont pas une vision centrée sur la liberté d'être soi-même «libres». Connais-toi toi-même disait Socrate et tu connaitras l'univers et les dieux! Partir de l'état d'être prisonnier de soi pour arriver à soi, à la liberté d'être ce que l'on est par nature.

Les journalistes montraient leurs croyances à la véracité des propos des gens du Pouvoir. Leur façon de dire et de faire (état d'être) montrait leurs croyances. Ils ne critiquaient pas les actes du gouvernement mais lui posaient timidement une question sur la légalité de l'adoption de la Loi 78 sans aller plus loin. Leurs propos sur les manifestations et la Loi 78 montraient qu'ils honoraient l'ordre avant la liberté d'être des étudiants. Ils minimisaient l'action des Étudiants et montraient le «non sérieux» des manifestations étudiantes. Leurs nouvelles montraient qu'ils appréciaient l'importance des actes posés par les policiers face à cette meute de manifestants illégaux … Il ne leur fallait pas ouvrir le bal des questions fondamentales sous ces manifestations étudiantes. Par exemple, l'état d'être de l'animatrice Geneviève Asselin montrait une retenue soigneusement calculée dans ses questions. Par ses questions au journaliste couvrant le terrain, elle ne se risquait pas à plonger dans le fonds de ces manifestations, dans le fait de dénoncer le sens des actes de harcèlement posés par les policiers face à des jeunes qui montrent leur indignation face aux actes du système social et du système éducatif en général. Voyez-vous cela! En acceptant, de fait, de parler du mouvement des policiers comme allant de soi, comme juste face à des jeunes non armés, voyez comment on peut percevoir une action de guérilla policière comme bienvenue face à des jeunes non armés dans l'intention et non aguerris aux techniques de guerre. Comment accepter calmement, sans frasques, sans problème? Comment accepter que ces policiers savamment plastronnés et munis de bâtons et de poudre de Cayenne puissent harponner impunément leurs victimes en les restreignant dans une souricière, etc. Comment voyez-vous le sens des questions et l'état d'être d'une mère qui voit un massacre se faire sous ses yeux et qui le dénie en bénissant le rôle des policiers? Comment pouvez-vous prétexter demander s'il y avait du grabuge pour justifier la présence policière accablante pour les jeunes? Voyez-vous comment ces questions peuvent montrer un état d'être complaisant envers le rôle des policiers appuyant l'oeuvre de destruction du Pouvoir pour le contrôle des humains sous l'égide de recourir aux tribunaux pour avoir l'heure juste, comme le souligne Anne-Marie Dussault en réaction aux propos du député Amir Khadir suite à son implication et à son arrestation pour avoir participé à une démarche illégale?

Voyez-vous! Voyez-vous! L'État d'être des journalistes et des animateurs de télé/nouvelles est toujours conforme à leur vision de comment ce conflit doit se régler, comment les problèmes générés par la gestion de la Loi 78 doivent être approchés et/ou réglés.

C'est dans ce contexte que je vous apporte l'état d'être de Madame Dussault en ce 6 juin 2012, dans son émission «24 heures en 60 minutes». Voici une Anne-Marie Dussault dont l'état d'être est expéditif et cassant envers le député Amir Khadir. Je m'explique. D'abord, elle est campée sur une position personnelle précise envers l'action que le député Amir a posée pour montrer son appui aux étudiants : il a participé à la manifestation illégale à Québec le 5 juin et il a été arrêté. Madame Dussault s'apprête à poser ses questions au député Amir Khadir. Son visage est crispé, fermé, en collusion avec ses propres idées. Ses lèvres revenues vers l'intérieur du visage, crispées. Ce visage crispé montre bientôt sa désapprobation face à l'acte posé par le député. Son questionnement est centré sur son jugement de gardienne du Système : elle n'accepte pas l'action du député prêt à la désobéissance civile vue comme une marque d'intégrité dans ce conflit. Elle est une avocate. Cette fonction prédomine dans son rôle de journaliste minimisant l'importance de la nature de sa personne. N'est-elle pas faite pour être la gardienne du système? Donc, Anne- Marie Dussault lui dit qu'il a participé à une action illégale. Déjà un problème de projection de ses critères et de ses conditionnements à vivre selon les préceptes qu'on lui a dit être bons et qu'elle a acceptés comme vrais pour elle : soit vivre dans la légalité même si la Loi est légalement adoptée par la majorité d'un gouvernement en place mais illégitime quant à brimer ouvertement les droits de la démocratie pour justifier sa loi de la «démocratie du pouvoir». Sa vision d'avocate lui permet de se fier aux tribunaux pour connaître et savoir comment agir alors que de l'intérieur, tu le sais si la Loi est illégitime. Chose certaine, Anne-Marie Dussault n'accorde aucune valeur à sa nature intrinsèque même et à son état d'être comme balise de son évolution. Son état d'être est en décadence perpétuelle puisque la maladie et la mort sont l'oeuvre de cette décadence de l'état d'être, véhicule de la vie d'elle-même comme de toute personne vivante.

Revenons à l'état d'être d'Anne-Marie Dussault en ce soir d'accusations envers Amir Khadir. Elle agresse Amir directement par son ton cassant, ses blâmes et ses remontrances et par le fait de le faire se justifier. Anne-Marie Dussault lui dit son idée tout de go : «Est-ce que vous ne risquez pas à jeter le discrédit sur le rôle du député, sur le rôle des tribunaux qui auront à trancher cette situation-là?» - «Je ne vois pas»-. Elle lui dit que le député est un pilier de la démocratie. Il adopte des lois. Il y a des recours aux tribunaux» (Propos d'Anne-Marie Dussault).

Donc, Amir répond. Il est affaissé mais tente de parler. Il lui dit que l'on a un devoir moral de se lever lorsqu'une loi est injuste. Il donne un exemple de la Russie qui donne des amendes qui briment le peuple. Madame Dussault lui rétorque : «Vous n'allez tout de même pas comparer (ici) avec la Russie? Le ton est cassant et offusqué. Ce ton (état d'être) met Amir Khadir en position de devoir expliquer son geste… par un autre exemple. Il lui dit: « Est-ce que cela vous convient, Madame Dussault, les États-Unis? Madame Dussault n'est pas ouverte. Elle se targue de lui dire rapidement qu'il n'a pas à se justifier mais elle le fait se justifier en l'attaquant dans ses propos justifiant ses actes. Elle n'a pas à entrer en conflit avec les propos de ce député. Elle doit le faire s'exprimer et montrer ce que cela implique pour lui de poser ce geste. Mais non! Elle lui dit que les tribunaux sont là pour décider si cette Loi est injuste. Sa vision: elle croit que le Système décide de la validité des lois que le Législateur impose aux citoyens en cas de crise. C'est une erreur fondamentale. Amir dit qu'il accompagne son peuple. On voit ici deux états d'être aux antipodes. Celui de Madame Dussault va avec la fermeté, la rigueur et la dureté des Melchizédeq. Elle est une avocate qui soutient l'autorité des Tribunaux quelle que soit la situation. Elle croit en l'autorité et à la justice des Tribunaux. Elle ne se compromet pas dans cela. Elle est une bonne fourmi de la fourmilière. Amir, lui, croit en l'intégrité de la personne. La personne sait intérieurement que la Loi est bonne ou mauvaise. Elle n'a pas besoin de devoir voir l'acte légal du gouvernement accepté par les Tribunaux pour le savoir. Cette façon d'être correspond à l'humain qui suit un sens profond en lui. Ce sens est bon. C'est la société qui vient le corrompre si la personne ne peut faire face à ce sens en elle-même. Amir fait face à de l'incompréhension de la part d'Anne-Marie, de sa réprobation (elle lui jette pour ainsi dire un discrédit…?) et de son agressivité à son égard (c'est tout de même pas une société de liberté de presse en parant de la comparaison avec la Russie). En effet, il subit une agression énergétique qui l'oblige à dire que son exemple pris aux États-Unis peut-il lui plaire? Une Loi injuste implique un devoir moral de s'y objecter dit Amir. Est-il nécessaire d'avoir une liberté de presse pour accepter l'immoralité d'une Loi? Il semble que ce soit l'option choisie par Madame Dussault.

Anne-Marie Dussault semble vouloir s'excuser aussi du peu de temps qu'elle a accorder à Amir alors que c'est un cas d'une extrême importance pour valoriser le sens critique et la démocratie. Elle le lui dit vite qu'elle n'a pas de temps à lui consacrer. Amir est obligé de constater le manque de vision, l'état d'être d'une certaine « arrogance» pressée d'en arriver aux conclusions. Elle le presse. J'y dénote une abstention volontaire, un arrêt, une intention d'écourter le temps de presse qu'elle accorde à la compréhension du public quant à l'importance de l'acte de désobéissance civile posé par Amir. Pourquoi? Ses autres sujets de l'heure concernent des nouvelles futiles13 données par Ian Lafrenière sur «les restes humains» envoyés à différents bureaux aujourd'hui. Fausse alerte. Elle aime parler de ce qui est une apparence en oubliant que la crise sociale est toujours là mais elle évite d'en parler. Est-ce du bon journalisme ou est-elle obéissante au Gouvernement et à sa politique de ne pas donner de préséance au conflit, de le couvrir minimalement pour donner une certaine image au public? Pourquoi? Pour manipuler le public. Si tu ne couvres pas fortement un débat qui se fait actuellement, en accord avec les deux partis en litige, dans la rue, c'est que quelque chose ne va pas. Madame Dussault couvre avec grande facilité et temps la maladie incurable d'un collègue, soit la sclérose latérale amyotrophique (SAL). Elle fait venir le journaliste Patrice Roy pour en parler. Elle va parler. Son état d'être est peiné pour celui qui va mourir si rapidement alors que tous doivent mourir affectés de croyances qui les absorbent. Son état d'être est aussi peiné en soulevant le problème de la cinérobothèque qui aurait besoin d'un mécène pour conserver l'utilisation de ses services. Son état d'être est aussi aidant en favorisant l'ouverture d'une porte pour la représentante revendicatrice. C'est remarquable. Madame Dussault aide la dame interviewée en lui disant que les écrans de la Robothèque sont prisés par différentes activités estivales organisées lors des différents festivals d'été. Madame Dussault fait une enchère de soutien très facilement (état d'être ouvert à cette cause) alors que pour l'action du député Amir, elle est agressante et offensante à mes yeux et aussi à bien d'autres. Finalement, des artistes vont organiser un spectacle le 18 juin pour une aide financière à la FEUQ, la FECQ et la TACEQ. La Coalition des humoristes indignés (CHI) offre une soirée bénéfice pour une levée de fonds à Juripop. La rencontre entre Madame Dussault et les deux humoristes ainsi qu'avec Martine Desjardins est légère en allusions et moqueries de la part des humoristes et de Madame Dussault et se dessine puissante sous des dessous imposants, dessous que Madame Dussault n'exploite pas.

Commentaire frappant de l'état d'être d'Anne-Marie Dussault

Le député Amir cite le cas de députés en Russie qui affrontent le régime légal. Anne-Marie lui rétorque sèchement: Il n'y a pas de liberté de presse en Russie. Alors, Amir lui donne un autre exemple qui justifie le geste moralement fait. Comme si ce qui se passe ici est acceptable puisque les actes répréhensibles sont commis au vu et au su de la liberté de presse qu'elle juge vraie ici au Québec. Je n'ai pas apprécié l'entrevue, son sens et le peu de cas fait au fondement de cette crise sociale par les journalistes dans leurs entrevues. Le sens de tous ces choix d'informations à divulguer au Peuple dans l'émission montre bien que le conflit n'est pas vu comme sérieux par les journalistes, par les personnes qui veulent mettre le gain en priorité sur les fondements de la crise, niant la valeur même du sens des gestes posés par la population impliquée.

Voilà un premier retour sur la présence de la maladie journalistique au Québec vue par son état d'être. Elle est effectivement bien présente. Elle est développée par les pensées et les croyances que chacun véhicule dans sa vie. L'état d'être de chacun montre son attribut. Un autre article suivra. Il parlera de l'État d'être d'une personne merveilleuse, vous. Cet état d'être est en évolution tout comme celui des Étudiants qui recherchent une voie pour ancrer l'évolution intégrité dans leurs pieds… Il suffit de chausser les bottes du Petit Poucet, de l'être intérieur qui avance dans nos pieds de Hobbit pour vaincre Sauron, l'Oeil qui voulait assombrir et anéantir la Terre du Milieu … située dans l'Arbre de Vie même.

Vous ne m'avez pas donné un accusé de réception du premier article que vous avez reçu le 28 mai dernier. Pourriez-vous me retourner l'accusé réception du document présent et me donner vos commentaires?

Merci!

Ghislaine Turcotte
Le Centre du Soi Rayonnant Inc.
450-655-9329
Courriel : csr@videotron.ca
Site : www.lecsr.com

Le Centre du Soi Rayonnant Inc
450 655 9329

csr@videotron.ca
www.lecsr.com

Fondement du Jour
Se prendre en mains
Y a-t-il une maladie journalistique qui se pointe?
Avis de l'Être à Sai Maa

Accueil - Activités - Formations - Articles - Communiqués
Bottom