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Atelier du 10 mars 2013
6e Invitation du CSR Inc.
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Invitation du CSR «Passer dans la toile d'araignée!».
Voici une invitation bien spéciale pour activer un éveil de la population sur ce qui se passe sous la gouvernance Marois. Nonpas que cette dame ne soit pas bien intentionnée. Mais le cadre de pensée qu’elle utilise pour cette gouvernance est faussé par ses principes et ses réalités projetées.
Voilà que je vous présente les actes de la gouvernance comme un sommet faussé: c’est le sommet rehaussé d’une toile d’araignée volontairement mise pour attabler les participants autour de leurs désirs et leurs attentes sans changer le sens de l’enseignement supérieur de l’Éducation. Pas de sens, fait changer quatre trente sous pour une piastre.Rien de plus. Tout s’est ordonné et les comités fonctionneront sur le changement de quatre trente sous pour une piastre. Pas de vision. Comment faire pour que la vision change? Il faut aller dans la partie subtile qui conduit les gouvernants. Comprenez-vous?
Oui! Vous avez bien lu. Voici une photo du Sommet de l'Enseignement Supérieur enrichie d'une toile d'araignée dont le centre est soutenu par un fil invisible surmonté d'une tête fantôme.

Madame Marois, Madame Malavoy et Monsieur Pierre Duchesne en sont les promoteurs principaux et ce travail se fait selon leur vision de l'enseignement supérieur pour le bien de la collectivité. Comprenez-moi bien! Ces personnalités croient qu'elles agissent seules avec leurs petits corps. Mais non! Leurs actions sont sous l'égide de la structure subtile qui les pousse dans leurs priorités d'action pour une finalité bien précise: Ordre social.
Ordre social et renforcement des priorités de la gouvernance
Pour la tenue du sommet, dans le cas de l'action proposée par la structure subtile derrière les promoteurs, la priorité insufflée était de rassembler tout ce beau monde, recteurs, étudiants, députés et leurs désirs et de les amener à croire qu'ils pouvaient recevoir une partie de leurs désirs tout en comprenant que la gouvernance avait des contraintes qu'ils devaient accepter. Contraintes et compromis feraient le travail pour les rassembler et les faire reculer de leurs attentes. C'est façon de faire s'appelle développer le syndrome de l'impuissance acquise. Ainsi lorsque vous amenez les gens à comprendre que ce qu'ils veulent n'est pas possible et qu'ils y croient, vous avez gagné.
Ils se plieront à vos avancées, travailleront dans vos comités sans qu'il y ait la possibilité de voir le jour de liberté et ne se relèveront pas. Donc, les faire adhérer au plan de cheminement prévu est un atout de Reine qui gère sa collectivité selon des règles et normes précises dont le but est de rentabiliser ou d'éduquer dans le bon ordre ou utiliser des cadres de perfection pour vivre la vie sans perfection et sans culpabilité. La Commission Charbonneau est un exemple d'utilisation d'un cadre de pensée moralisateur, rigide et qui cherche la culpabilité chez les gens. La juge Charbonneau est particulièrement redondante de gestes et de mouvements du visage qui en disent long sur sa structure interne de pensée de juge. Ce n'est pas beau à voir! Tuer la personne en direct pour lui dire qu'elle est coupable et qu'elle doit s'excuser, alors que toute la société base ses comportements sur l'atteinte de ses désirs, montre que le cadre de pensée des juges et avocats de la Commission ont une pensée yahvéique. Si ton comportement ne répond pas au cadre de pensée sociétaire sur ce qui doit être, tu es coupable. Cette pensée est très répandue dans notre société.
C'est ainsi que la toile d'araignée s'est installée. Quatre rencontres ont passé la corde autour du cou des participants et de leurs faiblesses. La motivation de chaque participant était harponnée à quelques points de leurs croyances et de leurs revendications inhérentes à celles-ci. Ceci est frappant pour les demandes des recteurs qui ont reçu un baume satisfaisant ainsi que pour les étudiants représentés par Martine Desjardins. Je la cite: << : Il va falloir qu'il écoute la communauté universitaire et qu'il écoute les consensus qui se dégagent autour de la table. Donc, je vais maintenant défendre bec et ongle en fait, cette position là pour la FEUQ >> (TVA Nouvelles 25 Février 2013 - Fin de première journée du Sommet) Elle n'a pas gagné la grandeur de ses revendications. Ce qui est pire, c'est de minimiser cette perte majeure d'espoir lié à une transformation des fondements de l'éducation pour ne garder que l’apparence de changer des points et des virgules dans les domaines recherchés sous prétexte de ne pas avoir trop perdu. Mais tout le monde présent ont perdu l'énergie de l'espoir ravivée par la réception de quelques miettes de pain vite digéré. Pour revendiquer ces précieuses fondations de l'Éducation, Martine Desjardins ne disposait que de quelques minutes dispersées en 4 blocs:
bloc 1 - Qualité et gouvernance
1:01:01 / 2:15:35 (Martine)
-Sommet - Bloc 2 - Recherche et collaboration entre les établissements et leurs milieux
1:52:20 (Martine)
-Sommet - Bloc 3 - Évolution du financement
1:36:15 / (Martine)
-Sommet - Bloc 4 - Accessibilité et persévérance
0:52:02 - (Léo Bureau Blouin) / 0:55:50 (Martine)
Martine Desjardins (FEUQ) a expliqué ce qu'elle voulait pour ses étudiants en ces quelques instants, quoiqu'elle ait eu quatre rencontres avant le sommet pour en débattre. Cependant, force est de constater que sa ligne de pensée quant à changer le sens de l'éducation par ses fondements mêmes n'est pas vraiment à son esprit. Aller chercher de nouveaux moyens pour aider les étudiants c'est bon mais si ces nouveaux moyens se font sans comprendre que le système éducatif doit évoluer dans ses fondements pour ouvrir un système de qualité pose un problème de taille: on revendique des changements éducatifs de qualité en gérant l'aspect académique et structurel mais sans sens autre que de faire de vrais chercheurs et professionnels. C'est donc un mouvement de changement de chaises, d'ajustement de moyens et de finalité pour faire de bons citoyens qui vont mourir avec de belles fonctions mais dont l'essence sera passée à côté d'eux.
Un mouvement de changements de chaises sous le couvert de rechercher la gratuité de l'Éducation est donc devant nous. C'est la toile d'araignée tissée par les acteurs de ce sommet sous l'ÉGIDE D'UNE ENTITÉ SUPÉRIEURE QUI TIRE LES FICELLES. Je dis cela car le système éducatif actuel, de bas en haut, est centré sur une organisation la plus rigoureuse possible entre les divers agents de l'éducation pour assurer la réussite des élèves en regard au sens collectif à poursuivre. Est-ce le bonheur collectif recherché comme il sied au Bhoutan? Non! Ceux-ci ont l'avantage de connaitre la nature de l'humain et sa recherche intérieure du bonheur. Je reparlerai de ce système du Bonheur National Brut recherché par le gouvernement du Bhoutan. Ce n'est pas ici le but recherché par le système éducatif systémique créé par nos occidentaux. Loin de là.
Le gouvernement et ceux qui le mènent dans les plans subtils et physique oublie que ce système touche à sa fin. Le Système Éducatif offert par le gouvernement Marois est centré sur la qualité, l'oeuvre d'art de toute forme de développement vue comme une réalité à atteindre. Mais ce ne sera pas la réalité à vivre pour les gens qui s'aligneront sur le développement de l'humain pour le collectif. Vivre et se développer pour être une fonction n'apporte pas le bonheur au moulin de ta vie. Dans la structure subtile, vous pouvez vous référer à l'entité «Soria» qui est venue il y a quelques années pour préparer la réforme éducative des humains. Il faut les mettre au pas, les ré-éduquer. Encadrons les enfants, mettons de l'ordre chez tous, alignons-les comme il se doit pour que les jeunes travaillent et que les personnes de 55 ans à 58 ans aient plus d'argent dans leurs poches (Agnès Maltais). Tout le système éducatif et ses diverses structures croient que l'humain arrive «vierge» pour faire ses pas évolutifs dans sa vie pour le collectif. Vous savez que le cadre de pensée utilisé par les gouvernants est rendu au bout de sa course.
Regardez les résultats de ce système. Au Québec, nous avons la palme des suicides. Nous sommes champions des pilules à prendre ou à donner pour tranquilliser les gens. Les citoyens se disent: il est impératif de bien vivre ce que l'on a à vivre avant de se retrouver en état de faiblesse et de maladie. Mais ils sont malades tous les jours, prennent des pilules pour masquer la douleur qui les tue jour après jour. Il y a de beaux côtés comme voir une entreprise réussir avec son monde. Mais ce monde vit sa vie pour qui et pour quoi? Nous arrivons à la même place : vivre pour atteindre ses exigences et mourir sans s'être développé vraiment. Même une personne qui favorise l'ouverture de ses portes d'énergies en faisant du Yoga ou du Taï Chi ne réussit pas à ce sortir du cadre de pensée qui la mène à la soumission à «Dieu» pou arriver au stade de lumière qu'elle vise (satisfait ses attentes et ses désirs mais elle y perd sans même le concevoir). Puis, le vieillissement, la maladie et la mort suivent quoi qu'on en dire de notre système de valeurs extérieures. L'humain passe à côté de sa vie et le système, soumis à la structure subtile, obéit aveuglément à cette forme éducative où l'humain se développe pour être un citoyen qui vit en collectivité sans connaitre sa propre nature. Il est un corps physiologique qui vit des émotions et qui en cherche sinon il n'est rien. La structure de gouvernance veut qu'ils manifestent mais elle les bourre de règles pour ne pas qu'ils y arrivent. La structure les contraint à donner leur trajet de manifestation sinon ils sont bouclés (règles des municipalités votées pendant le printemps érable) comme des criminels.
C'est dans ce contexte du cadre de pensée/araignée que j'invite chacun à entrer dans la toile pour faire face à vos désirs et attentes sous le couvert de vos croyances. Je vous invite à l'atelier du 10 mars prochain à 17 heures 30. Par le développement de nos corps subtils, nous sommes rendus à pénétrer dans la toile d'araignée décrite ci-haut appliquée dans notre quotidien. Comment allons-nous passer dans ce vécu éducatif? Qu'est-ce qui viendra nous rejoindre dans notre concret? Quelles croyances provenant du système éducatif/araignée se placeront devant notre route? Nous verrons les faiblesses inhérentes à notre tunique de peau apparaitre. À nous de les voir et de s'en défaire.
Réservation nécessaire.
Entrée : 50$
Au plaisir!
Pour de plus amples renseignements, appeler au CSR.
Ghislaine Turcotte
Le Centre du Soi Rayonnant Inc
450 655 9329
csr@videotron.ca
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