Frame
Le CSR invite les gens intéressés à connaître, comprendre et activer ce qu'ils sont de façon à viser un état d'être appelé bien-être constant permettant la revitalisation du corps physique.
Frame

Le CSR
Divider
Atelier du 24 février 2013
5e Invitation du CSR Inc.

Invitation du CSR «Vision de l'humanité en chute!».

Bonjour à vous les personnes qui vivent les temps de chute de l’humanité!
Voici deux informations qui vous concernent pour mieux voir votre vous-même dans votre fonction de donneur de sens à la nouvelle que vous recevez par les médias. La première relate le chemin subtil entrepris pour faire cesser la dérive de l’humanité et les effets de la chute de celle-ci depuis la tuerie en 2009. La seconde réfère aux états d’être liés à la chute.
Ces info font partie intérieurement de votre vous-mêmes. Un regard sur soi qu’on ne connait pas permet de voir ses croyances sises au fond de soi. Ces croyances et la finalité de votre vie passent dans le sens de vos interprétations des nouvelles que vous acceptez comme vraies. Creusez sur vous! Vous serez plus en recherche de ce vous-mêmes. Vous connaitrez l’univers et les dieux mais vous les dépasserez pour vivre le mieux-être durable dans votre vie terrestre même. Je ne fais pas référence ici au Bonheur national brut du Bhoutan mais je précise que votre gouvernail est à l’abandon tant que la barre ne sera pas redressée pour vivre un mieux-être ou un bien=être durable que la gouvernance actuelle du système ne peut vous donner. Revendiquer ce bien-être.

Voici que le 6 février dernier, je suis entrée dans le passage où a été déclenchée la Mort de l'humanité. Le 15 février dernier, deux évènements se succèdent: la tombée d'un météorite en Russie et le passage d'un astéroïde géocroiseur à moins de 27 700 km de la terre. Au sud de la terre, en plus. Les tempêtes de neige et les vents violents ont suivi cette avancée de pierres et de fragments célestes autour de la terre. Comprenez qu'actuellement cette fin de tuerie de l'humanité doit passer par le retour de l'oeil d'Horus l'Ancien dans mon oeil physique et Horus l'Ancien voyage pour notre connexion dans les plans subtils jusqu'à la terre. J'ai frôlé la mort plusieurs fois dans ce canal dernièrement car ce canal est resté délabré et sans vie. Je suis entrée dans la croute terrestre subtile. Le son remonte et prochainement la vie va reprendre dans la réalité «une» subtile revenue. Plus mon avancée progresse dans ce passage déclencheur de la mort de l'humanité, plus l'eau remonte dans mon corps par les jambes et le bassin. Qu'en-est-il de vous? Quelles sont les manifestations des quatre éléments dans votre corps pendant que je finalise la meurtrissure de la matrice de l'humanité? Comment voyez-vous la réalité qui se présente devant vous?

Ce qui se passe fortement dans les plans subtils et dans le plan matériel jusqu'à maintenant, nécessite un bon échange. Nous vivons les effets de cette chute de l'humanité qui perd ses repères de vie, ressort ses faiblesses émotionnelles et vit une structure de pensée et d'action maladive. Regardons les effets de cette chute de l'humanité en nous et autour de nous. Comment vivons-nous ces effets? Y répondre permet de raviver la Clé de Vie (La Croix ansée).

Les effets de la mort, soit la chute de l'humanité dans ses bas fonds

Les corps célestes, météorites et astéroïdes qui passent près de la Terre affectent les personnes, non seulement par ce qu'elles fracassent les couches de la Terre (météorite) mais aussi parce qu'elles s'écrasent en faisant un son percutant aussi fort qu'une onde de choc infiniment grande ( trois fois l'ampleur de la bombe d'Hiroshima dit-on) … et une lumière aveuglante qui passe dans les personnes et leurs réalités. Les effets des ondes électromagnétiques affectent toutes les personnes. C'est dans leurs attitudes, leurs comportements, leur façon d'être que cet effet est visible. Et je ne parle pas des plans subtils liés au corps physique de ces personnes.

Effet 1 Crises sociales et douleurs accrues dans la collectivité

Les crises sociales augmentent en force partout dénonçant la volonté des personnes à ne plus vouloir vivre l'injustice, à vouloir vivre mieux. Le Québec n'y échappe pas. La gouvernance du peuple pour un mieux être se fait par l'augmentation des normes pour mieux contrôler la collectivité. Le système judiciaire y voit aussi ainsi en multipliant ses annonces d'aide pour régler les injustices. Mais le peuple ne se sert pas de cette justice car il y a gouté. Elle est fausse dans son système même de procédures et de lois. Les personnes s'entraident mutuellement car le gouvernement régit selon ses règles et normes à la base des principes rigides (aide sociale, assurance santé, besoins de soins plus spécifiques que le pattern hôpital-maison) qui maintiennent le même cadre de gestion servi pour tous. Pas de passe droit. Il y a un manque de sens à la gouvernance et à ses principes, règles et normes qui favorisent la sclérose du système. L'humain qui gouverne n'a pas de sens interne, pas de navigateur pour se diriger vers un bien-être durable. Le bas fond de l'humanité tire sa colère, sa douleur, sa souffrance.

Effet 2 Folie de vivre vers le désespoir

La gouvernance au mieux du système est recherchée avec le développement de la personne comme fonction pour le mieux-vivre sans la durabilité, sans toucher la personne globale, holistique intérieurement. Cette gouvernance pousse et développe encore une vision éducative qui ne favorise pas le bien-être de l'humain qui doit être vécu dans toutes les manifestations de sa vie. Cette gouvernance favorise des politiques sociales pour l'ensemble de la collectivité en ayant comme leitmotiv de ne pas en donner plus à l'un qu'a l'autre. Cette gouvernance ne va nulle part autre que ce qu'ont fait ses prédécesseurs. La forme est modifiée, le consensus est attirant pour les individus ayant soif de liberté mais ce consensus est un leurre; il ne mène la structure et l'humain qu'à l'état de gangrène car il ne favorise pas le développement durable de l'individu, seulement celui de la structure qui régit l'individu. Comment arriver à favoriser le bien-être durable de chaque membre de sa collectivité. Les gouvernants du système ne le savent pas. Ils n'ont pas d'idée! Ils sont pleins de mental vide! Ils font des projets de lois, tels celui des armes à feu pour contrôler… les humains. Ils ne savent pas que chaque personne qui veut une arme doit s'enregistrer pour un cours et que celui qui n'est pas permissible de se procurer une arme ne le peut par suite de l'enquête faite sur lui.

Un désir de folie de se protéger à tout prix s'empare de la gouvernance alors que le développement de la personne est laissé à l'apprentissage de connaissances, de savoir-faire pour apprendre à savoir-êre et ainsi devenir un bon citoyen fonctionnel mais vide. Voyez-vous la folie du système éducatif (au sens large incluant toutes les structures) en marche vers le fonctionnariat, symbole d'humains non libres mais «contents de posséder une maison pour un temps, etc.» puis réalisant qu'ils vivent un bien-être éphémère. Ils vont cahin caha vers le trépas, le désespoir. Une fonction de journaliste permet-elle à la personne un devenir de bien-être durable? Y a-t-il des problèmes que la personne va vivre avec ou sans sa fonction d'avocate, de journaliste, de maman, de papa, etc. La gouvernance du Québec choisit encore ce qu'elle connait: le vide comme finalité de vivre.

Effet 3 Perturbations climatiques référant à la tuerie de l'humanité

Outre le système éducatif faussé à la base, il ya des perturbations d'ordre climatiques et des perturbations d'ordre journalistiques et d'ordre judiciaire qui s'affichent présentement. Dans le concret, le climat favorise l'excès d'eau que ce soit sous forme de pluie diluvienne ou de neige d'envergure astronomique. Regardez le ciel. Le ciel est blafard sous des envies de soleil. Les impacts de ces perturbations sont inimaginables pour toutes les personnes les traversant. Douleurs physiques et pleurs face aux pertes matérielles, le soutien de toute leur vie. C'est vivre l'abysse pour plusieurs personnes.

Effet 4 Perturbations - vision mentale de tous et de la Commission Charbonneau et malaises physiologiques

Beaucoup de personnes ont des malaises ou des maladies qui se pointent dans leur corps dans cette chute de l'humanité. Elles attribuent les causes de leurs malaises à ce qu'elles pensent comme lien plausible comme j'ai mal dormi, j'ai trop mangé, j'ai poussé trop loin la machine, etc. Ce lien n'est pas la vérité mais il est ce qu'elles veulent croire comme vérité explicative de leurs malaises. Il est fonction de leur vision de ce qu'est la possibilité du motif d'attribution pouvant répondre à la réalité qu'elles croient vivre. Le cadre de pensée a un impact direct sur le vivre et le mourir.

Commission Charbonneau

Certaines personnes en droit de le faire (droit judiciaire) se mettent en passe de détrôner les gens de leur façon de vivre (mafioso par exemple) en les mettant au banc des accusés. Voilà la Commission Charbonneau qui active la vision de la gouvernance. Elle relève le défi de rechercher les systèmes de collusion qui appauvrissent le Gouvernement et notre Société, pas la personne. Dans cette veine d'idée se joue le cadre de pensée intellectuel qui sépare le cerveau du reste du corps dans une action «bonne» ou pas bonne» où l'humain n'est pas. Elle ne voit pas que le cadre de pensée d'une personne agit à tous les instants sur ses comportements, qu'elle n'est pas une coupable mais une personne qui avance avec ce qu'elle croit vrai. Alors, les avocats de la commission peuvent lui dire qu'elle est une coupable dans la façon de lui parler, de la questionner, sans égards à ce qu'elle porte aussi : le père, la mère, le soutien aux enfants, le bosseur pour avoir de l'argent, le brasseur de bras pour se tirer d'affaires face aux manigances de pouvoir des autres sur lui et sa riposte face aux responsabilités qui lui incombent, etc. Cette vision mentale et émotionnelle est aussi l'apanage de toute l'humanité en chute de vie.

Les personnes vivent la chute et ont des malaises. Voyez-vous le bonheur dans cette salle où la tuerie mentale fait loi? Voilà un premier indice de malaises entrant dans le corps physique des personnes y participant.

Effet 5 - Les médias se nourrissent de la commission Charbonneau avec l'effet 4, la réalité qu'ils veulent, non celle qui est

Les personnes exerçant le métier de journalistes, d'enquêteurs et de responsables des médias choisissent de nous présenter la nouvelle à leur façon; elles versent souvent dans le papotage des sensations soumises aux émotions sous-jacentes aux idées qui les font vibrer ou à celles qui les font devenir des éteigneurs de réverbère en utilisant leurs principes, règles et normes pour déformer la réalité vécue et rapportée et la rendre banale. La réalité vécue «imparfaite» pour leur cadre de pensée est inacceptable. C'est leur vision de la réalité qu'ils veulent nous faire partager. Leur cadre de principes, de règles et de normes est soumis au respect de la structure mise en place. Pas de possibilité de discriminer pour trouver le sens vrai qui se dégage des comportements rapportés par eux dans leur cadre de ce qui devrait être. Ce que j'appelle la fausse réalité qu'ils recherchent : leurs principes de droiture rigide doivent guider les personnes dans leurs pensées et leurs agissements, sinon, c'est la tuerie officielle devant le public. Par exemple. Que l'on demande à Nicolo Milioto s'il sait ce que monsieur «Z» pense de telle situation est une phrase qu'elles trouvent correcte. Il n'a pas à témoigner de ce qu'il pense que l'autre pense. Les Coupal, Richer et Dussault s'amusent des frasques dénotées concernant le témoignage jugé «évasif» de Nicolo Milioto, ce 19 février.

Ce qui me frappe, c'est l'absence de respect de la Cour pour le témoin. Regardez la manière irrévérencieuse de l'avocate Sonia LeBel lorsqu'elle pose des questions à Nicolo Milioto. Observez ses questions pièges pour le faire craquer… Observez son attitude. Regardez son visage et le rictus qui s'y dessine. Est-ce une bonne intention quant à aller chercher la vérité? Non! Elle veut l'obliger à dire sa vérité à elle. Son attitude et son comportement le montrent. Madame l'ex-juge Coupal nous explique avec son processus d'intellection comment on pourrait pousser Monsieur Milioto à le faire parler selon le sens qui est voulu par toutes ces personnes qui veulent croire en ce qu'elles ont mis de l'avant pour expliquer la réalité de collusion à Montréal. Par son processus de pensée et ses critères, l'ex-juge à la retraite montre le chemin à la Commission quant à dresser le petit chien et l'amener à saliver quand on veut qu'il salive. Regardez madame la Commissaire. Observez son attitude, son visage, sa façon de regarder monsieur Milioto quant elle lui parle, crispée. L'état d'être est en problème. Observez sa colère, signe d'un problème dans son intellection et dans sa visée de ce qu'est la vérité. Voyez sa semonce. Je cite des propos de la Commission Charbonneau et du journal Le Devoir aux fins de vous montrer la maladie mentale e l'humanité en chute à l'oeuvre. Ce sont des propos d'enfants qui se jettent la pierre. J'appelle cela « jouer des moignons», utiliser des sentiments, des émotions, des idées ou des raisonnements fautifs pour faire dire les choses vers la vérité voulue par la Commission. Astreignant et harcelant. Comment une Commission de droit peut-elle faire cela pour le bénéfice de la gouvernance? Brimer les droits des personnes pour le profit de la structure? Est-ce acceptable? NON!

Madame la Commissaire Charbonneau lui dit qu'il doit se taire, de ne pas être critique face à la manière insultante avec laquelle l'avocate Sonia LeBel le questionne

  • «10h43 - La présidente se met en colère contre le témoin. «Vous n'avez pas à décider de la pertinence des questions.» Menace de parjure et d'outrage au tribunal.
  • 10h41 - «Comment pouvez-vous faire confiance à M. Sollecito pour remettre de l'argent à M. Rizzuto?» demande Me LeBel. «Entre Italiens, on se fait confiance.» «Et vous cachiez de l'argent dans vos bas de peur de vous faire voler au Consenza?» demande la présidente Charbonneau.»

Le Devoir:

  • Nicolo Milioto, identifié par un enquêteur de la Commission Charbonneau comme l'intermédiaire entre la mafia montréalaise et le cartel des entrepreneurs en construction, a été averti deux fois par la présidente de la commission, mardi, parce que celle-ci n'appréciait pas ses réponses évasives.
  • La juge France Charbonneau lui a lancé un second avertissement, mardi après-midi. «Des propos vagues et imprécis peuvent parfois être de nature d'un outrage au tribunal», lui a dit la présidente de la commission.
  • «J'essaie de faire mon possible», a répliqué l'ancien président de Mivela Construction.
  • La juge France Charbonneau avait perdu patience une première fois en matinée, devançant l'habituelle pause pour demander à l'avocat de M. Milioto de lui expliquer en quoi consistaient des accusations de parjure et d'outrage au tribunal.
  • La juge Charbonneau avait haussé le ton après que M. Milioto eut refusé de donner des noms à la procureure-chef de la commission, Me Sonia Lebel, sous prétexte qu'il ne voulait pas donner le nom de personnes qui n'avaient rien à voir avec l'industrie de la construction, bien qu'elles aient été présentes au Café Consenza.
  • Le Devoir rapporte les faits ainsi:
  • «Vous me maltraitez, je peux vous maltraiter»
  • «M. Milioto ne s'est pas intéressé à savoir ce que faisaient M. Rizzuto et d'autres entrepreneurs en construction qu'il a vus au Café Consenza au fil des ans. Ce n'est pas de ses affaires, a-t-il répété. Et il respecte les gens, qu'ils soient ingénieurs, entrepreneurs ou avocats. «Vous me respectez; je vous respecte. Vous me maltraitez, je peux vous maltraiter de la même façon que vous me maltraitez», a-t-il lancé à la procureure-chef de la commission, Me Sonia Lebel.» (Propos du journaliste du Devoir le 19 février 2013 http://m.ledevoir.com/politique/quebec/371302/commission-charbonneau-milioto-affirme-qu-il-ne-sait-pas-ce-qu-est-la-mafia )

Problème du déroulement de la Commission Charbonneau : pas de recherche de vérité mais tortionnaire pour faire dire ce que l'on veut par son droit de justice. La structure menace le bien-être de la personne, forte de son pouvoir sur lui.

Le déroulement de la Commission se fait selon la vision du système judiciaire (Ce sont des avocats et des juges qui ont un cadre de pensée centré sur le droit collectif. Ces personnes ont été endoctrinés et font partie du club de personnes au service du système judiciaire sans liberté d'être elles-mêmes, puisque recherchant la réalité qu'ils veulent, non celle qui est.). Dans cette foulée, vous êtes reçu comme un coupable et non comme une personne qui a été assignée à témoigner. Pire, la personne est vue comme un criminel comme le disait l'ex-juge Coupal à l'émission «24 heures en 60 minutes» en ce 19 février même. Voyez-vous le climat de tension orchestré par la façon de pensée rigide émise par des règles et normes de la Bible judiciaire? Cette Bible fait office de la pensée des avocats et des juges pour faire extorquer la vérité qu'ils veulent à une personne mise en état de faiblesse avec tous les moyens qu'ils peuvent prendre. Ensuite, ainsi affaiblie mentalement et physiquement, ils la laisse se trainer devant le public pour être décriée comme une mauvaise personne qui, en plus, s'excuse d'être ce qu'elle est. Voilà la Maladie mentale de l'humanité en chute!

Monsieur Nicolo Milioto se doit-il de répondre aux questions quand il est maltraité, qu'on le harcèle, qu'on rit de lui, etc., qu'on ridiculise ses images d'argent dans les bas, qu'on lui envoie des insultes? Non! On le juge dans sa manière d'être. On qualifie la valeur de vérité de ses réponses en fonctions des critères de l'intellect qui est fautif dans l'avenue de la maladie mentale. On dit que ses réponses sont des réponses «évasives» Oui pour les personnes avocates et juges qui croient que les réponses devraient être autrement ; elles ne correspondent pas à celles qu'on veut comme étant la vérité. C'est là le pire chemin que connait le système judiciaire pour faire sortir la vérité qu'il veut. User de violence pour l'avoir à tout prix est monnaie courante. ET cela, sous l'oeil vigilant de la Justice, de l'oeil de milliers de personnes qui jugent elles aussi selon leurs critères. On est dans l'arène et les fauves sont là. La tuerie se fait sans goutte de sang physique. Monsieur Nicolo a le droit de dire que les affaires des autres ne le regardent pas. C'est une réponse adéquate. S'il ne sait pas, il a le droit de le dire. Que les avocats le croient ou non. Il a le droit d'être ce qu'il est. Se faire maltraiter en pleine Cour/Commission fait partie de la folie du Québec à vampiriser les gens, à se sustenter de leurs dires, de leurs émotions afin de vivre leur trip de «vérité».

Conclusion sur les effets : Erreur de pensée des personnes en charge de la Commission Charbonneau

Voyez-vous cela? Le système éducatif doit «éduquer» des êtres pour qu'ils deviennent autonomes mais ils ne peuvent être critiques qu'à certaines heures et surtout pas quand une Commission veut s'abattre sur eux avec tous ses pouvoirs. La Commission Charbonneau ne leur reconnait pas le droit de se rebiffer et de se défendre… La présidente le met en garde d'être accusé d'outrage s'il ne répond pas aux questions. Que quelqu'un fréquente des personnes dont la tête est mis à prix, cela le fait paraître aussi pire qu'elles. Monsieur Nicolo Milioto l'est pour eux. Coupable, criminel dit l'ex- juge Coupal. On le lui fait sentir. Il n'y a pas de mot pour exprimer le dégoût que cette Commission provoque par ses attitudes et comportements tuant pour le bénéfice de la fausse justice.

Donc, nous voici dans les effets de la tuerie de l'humanité. L'augmentation des folies mentales qui affectent le jugement vers l'application d'une saine justice. Les papotages sur ce qui est possible comme lien entre Nicolo Milioto et d'autres personnes qui font des affaires ensemble est un point, lui dénier le droit de dire ce que lui en pense, c'est une autre chose. Et ce qu'il en pense n'est peut-être pas la réalité qu'il vit. Mais la même chose se passe avec Me LeBel. La réalité qu'elle vit n'est pas celle qu'elle croit vivre. Seul son mental la domine. Elle ne voit pas d'autre réalité que celle qu'elle veut voir. Comment alors rechercher la vérité? Elle ne la vise pas. C'est le problème de l'administration de la justice au Québec. Il vise une saine gestion administrative de la justice. Il ne peut y avoir de recherche de vérité possible dans ce contexte.

Voilà l'effet de la chute de l'humanité. Elle accentue les décharges émotionnelles. Nous allons parler à l'atelier de ce qui se passe actuellement face à cette chute et comment elle est en voie de finir. Vous êtes conviés à l'atelier du 24 février prochain à 19 heures.

Réservation nécessaire.
Entrée : 50$

Au plaisir!

Pour de plus amples renseignements, appeler au CSR.

Ghislaine Turcotte
Le Centre du Soi Rayonnant Inc
450 655 9329

csr@videotron.ca
www.lecsr.com

Atelier du Jour
Atelier du 10 février 2013
Atelier du 22 janvier 2013
Atelier du 10 janvier 2013
Ateliers 2012

Accueil
Bottom